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19 décembre 2016 1 19 /12 /décembre /2016 17:54

 

Oui, mais c'est bientôt "les fêtes" !

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19 septembre 2016 1 19 /09 /septembre /2016 23:33
Aucun effet observable sur le niveau de la mer d’un réchauffement global

Lu sur Réinformation.tv :

M"[...] Le 14 septembre, un reportage de CNS News a collationné lesconclusions de quatre études d’équipes spécialisées, ainsi que d’autres travaux, tous concluant qu’il n’existait pas d’effet observable d’un réchauffement global d’origine humaine sur le niveau des mers.

La première étude citée par CNS et reprise par les sites NoTricksZone, spécialiste des sujets sur le climat, et The New American, a pour auteur le spécialiste de l’environnement Kenneth Richard, s’appuyant sur une équipe de géologues menée par Paul Kench, qui étudient les traits de côte à l’Université d’Auckland en Nouvelle-Zélande.

L’importance des oscillations naturelles

« Il est largement admis que le niveau des mers aurait augmenté durant les dernières décennies en raison d’un réchauffement climatique d’origine humaine », écrit Richard. « Néanmoins ... lisez la suite...

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16 août 2016 2 16 /08 /août /2016 14:23

Une idée de voyage !

 

42,21 - Clartés sur la Crète
4221

Volume I

Par sa lecture des hiéroglyphes égyptiens, F. Crombette trouve, avec certitude, que l'île de Crète avait été étroitement liée avec l'Egypte. Le second fils de Ménès (qui était le 2° fils de Misraim) y a aporté sa langue. De là l'auteur a pu lire les signes crétois, les traduire, et écrire l'histoire des trois dynasties de l'île. Un capitule dévoile le contenu du célèbre Disque de Phaestos; un autre chapitre donne l'origine de la langue basque.

Clic ici pour décharger le livre (2.7 Mb).
Pour décharger gratuitement une brève synthèse:  44,12 (1.3 Mb).

La suite...

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9 août 2016 2 09 /08 /août /2016 12:19
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3 juin 2016 5 03 /06 /juin /2016 11:24

Un livre de saison. A lire au coin du feu...

 

Cet essai ne nie pas le réchauffement de la planète. Au cours du XXème siècle, la température moyenne de la terre a augmenté de 0,6 à 0,8 degrés. Il s’intéresse plutôt au « réchauffisme », néologisme qui rapproche le « réchauffement » et « l’alarmisme »  en une certitude que la hausse des température est anthropique.

 

Rémy Prud’homme montre que ce mouvement d’idées présente les cinq caractéristiques d’une idéologie, selon les critères établis par Hannah Arendt :

 

-  il est monocausal : les rejets de CO2 issus de l’activité humaine expliqueraient à eux seuls le réchauffement de la planète.

-  il est scientifiste : il prétend s’appuyer sur une science unique, irréfutable.

-  il est étatique : le GIEC, l’ONU et les états ont immédiatement capturé et instrumentalisé cette idée

-  il est révolutionnaire : il faut tout changer pour « sauver » la terre.

-  il est populaire : les peuples sont facilement convaincus de la responsabilité de l’homme dans les changements du climat.

 

Comme dans toute idéologie, l’auteur démasque au cœur de ce « réchauffisme » les germes puissants d’une tendance dangereusement totalitaire.

L'idéologie du réchauffement

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26 mai 2016 4 26 /05 /mai /2016 15:22
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21 mai 2016 6 21 /05 /mai /2016 15:59

L'identité du fraudeur reste incertaine... (...) La liste des auteurs potentiels comprend également Arthur Conan Doyle, qui habitait près de Piltdown au moment crucial et fréquentait Dawson. Il était alors plongé dans l'étude de la Préhistoirecar il travaillait à son roman, Le Monde perdu (1912), qui relate l'aventure d'explorateurs ayant découvert un plateau inaccessible sur lequel vivent des espèces préhistoriques, dont une tribu… d'hommes-singes ! De plus, Sir Arthur aimait faire des farces : la première édition du Monde perdu était illustrée de photographies le représentant, avec des amis, déguisés pour incarner les héros du livre, à tel point que le rédacteur du magazine chargé de la pré-publication ne voulut pas publier ces photos qui, disait-il, risquaient de duper le public. Dans Le Chien des Baskerville, roman qu'il publia en 1901, longtemps avant la fausse trouvaille de Piltdown, on peut lire : « Il fait des fouilles dans une sépulture située près de Long Down et il a découvert un crâne préhistorique, ce qui le remplit d'une joie immense. » Ceux qui croient à la culpabilité de Conan Doyle arguent que les restes découverts dans la gravière auraient très bien pu provenir des collections de l'écrivain. En revanche, ses défenseurs soulignent que Conan Doyle ne possédait pas de si grandes connaissances paléontologiques et n'aurait jamais laissé la nouvelle de la découverte se propager avec une telle ampleur.

Lu sur Wikipedia

 

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La ruée vers l'os

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3 avril 2016 7 03 /04 /avril /2016 07:27

Jean-Pierre Coffe, le célèbre animateur de télévision et chroniqueur gastronomique, est décédé mardi 29 mars. Il pourfendait  avec talent la malbouffe. Cela nous donne l’occasion de nous souvenir du Docteur Paul Carton (1875-1947), maintenant oublié, auteur de nombreux ouvrages, où il défendait notamment une alimentation saine. Pour lui, une mauvaise hygiène (alimentation, cadre de vie, activités physiques, mentales, sociales, professionnelles...) était bien souvent la cause de nos maladies. Voici un extrait de son livre La cuisine simple (1925).

 

Parmi les facteurs matériels de la santé, le plus important est celui qui concerne les apports alimentaires destinés à réparer les pertes chimiques et vitales des tissus. Si l'on mange trop ou si l'on ne mange pas assez, si l'on se nourrit d'aliments trop toxiques ou si l'on néglige de consommer certains produits indispensables, on finit par tomber malade ou par pléthore ou par dénutrition ou par intoxication ou par carence, mais toujours par cause alimentaire. Des désordres digestifs s'ensuivent d'abord (dyspepsie, dilatation d'estomac, congestion du foie, jaunisse, constipation, diarrhée, hémorroïdes), puis des troubles de l'état général et des émonctoires (migraines, faiblesse incitative, fièvre, état grippal, rhumes, angines, éruptions) qui préparent la venue des maladies déclarées. Donc, avant de subir les assauts d'une pneumonie ou d'une fièvre typhoïde ou d'une appendicite ou d'une scarlatine, etc., on reçoit d'abord des avertissements répétés du côté des voies digestives et de l'état général, qui devraient donner l'éveil sur l'imperfection de la conduite alimentaire et hygiénique et inciter à la corriger, plutôt que de combattre aveuglément les bienfaisants symptômes avertisseurs, à l'aide de médicaments qui ne font que masquer le mal, sans enlever ses causes.

A côté de cela, il peut arriver que des individus restent en état de santé et même parviennent à un âge très avancé tout en commettant les pires erreurs de régime alimentaire, de même que l'on peut observer des gens qui vivent vieux et sans grandes maladies tout en se livrant à l'ivrognerie, mais ce sont là des cas exceptionnels de résistance. Ils tiennent à ce qu'il s'agit presque toujours de personnes particulièrement robustes, issues d'une lignée campagnarde récente qui peut momentanément faire les frais du surmenage digestif. Toutefois, même en pareil cas, le mal accompli n'en porte pas moins ses mauvais fruits. Au lieu de frapper l'individu, qui débordait de résistance, il atteint sa race et il la fait décliner et dégénérer. A la deuxième génération apparaissent les manifestations d'arthritisme digestif et humoral que nous venons de signaler et à la troisième, les affections d'usure chronique accourent : insuffisances glandulaires et scléroses multiples (qui constituent l'essence de l'arthritisme invétéré), diabète, albuminurie, tuberculose, cancer, folie, idiotie. Et alors, une famille, solide au début, finit par s'éteindre dans la misère physiologique pour avoir, pendant deux ou trois générations, gaspillé ses réserves de vigueur, en abusant des boissons alcooliques ou encore des viandes, des poissons, des sucreries, de la cuisine forte, des aliments riches, des produits concentrés, dénaturés, frelatés et surexcitants.

Le caractère lui-même est à la merci du régime. L'alcool rend fou. L'abus des boissons fermentées, du café, du thé, du sucre, du tabac, agite et déséquilibre. La viande en excès rend brutal et passionné. Au contraire, la nourriture pure, douce et peu concentrée que fournit le régime végétarien favorise le rééquilibre mental et l'harmonie du caractère.

(…) Si les hommes acceptaient de se nourrir, avec sagesse, d'aliments doux et purs, la bonne santé et la paix régneraient parmi les nations. (…)

 

Se nourrir sainement, en sachant choisir les aliments utiles, composer des menus logiques et les cuisiner sans complication implique la réalisation des vertus primordiales d'ordre, de simplicité, de régularité et de discipline qui sont à la base de la santé matérielle et du progrès spirituel, car c'est en s'exerçant à la perfection sur les plus petites choses que l'on devient apte à triompher de difficultés importantes et à accomplir de grands progrès. 

 

Merci à EVR.

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19 mars 2016 6 19 /03 /mars /2016 13:10

130 médecins, dans une tribune publiée dans Le Monde du 17 mars 2016, déclarent avoir accompagné des couples de lesbiennes et des célibataires dans leur désir de devenir parents en ayant recours à la procréation médicalement assistée (PMA) et demandent à ce que la loi change. 

Dans le même « journal de référence », en 2013, Sylviane Agacinski, philosophe, enseignante à l'Ecole des hautes études en sciences sociales de 1991 à 2010 (et par ailleurs épouse de Lionel Jospin) alertait sur les conséquences graves qu’entrainerait une telle libéralisation .

 

La notion d'homoparentalité, c'est la possibilité, au moins apparente, de se passer de l'autre sexe pour "avoir" des enfants, comme on l'entend dire si souvent à la radio : telle actrice célèbre "a eu des enfants avec sa compagne". On en oublierait presque ce que cette merveilleuse performance doit aux techniques biomédicales et au donneur de sperme anonyme mis à contribution en Belgique ou en Californie.

Mais le don de sperme et l'insémination artificielle sont depuis longtemps pratiqués en France pour des couples "classiques" dans le cadre de la procréation médicalement assistée (PMA) sans que l'on s'en émeuve ni que l'on s'interroge sur la transformation des personnes qui donnent la vie en simples matériaux biologiques anonymes tandis que les enfants deviennent des produits fabriqués à la demande et par là même, dans certains pays, des marchandises. On connaît aujourd'hui les ravages que produit souvent, sur les enfants, l'organisation délibérée du secret maintenu autour de la personne de leur géniteur, même lorsqu'un père légal existe et qu'il a joué pleinement son rôle.

Ainsi, la première réflexion qui s'impose à nos sociétés modernes, avant tout bricolage législatif sur les modalités de la filiation, concerne la distinction, fondamentale en droit, entre les personnes et les choses. Le philosophe Hans Jonas regardait la responsabilité des êtres humains à l'égard de leur progéniture comme l'archétype de la responsabilité. Les donneurs de sperme et les donneuses d'ovocytes sont d'abord des êtres humains : on dit qu'ils donnent des cellules à "un couple", alors qu'ils contribuent à donner la vie à un enfant, que celui-ci le saura un jour et demandera des comptes.

Non pas qu'il aura souffert dans son enfance, mais parce que, en tant que personne lui-même, il voudra savoir de quelles personnes il est issu et quelle est son histoire humaine. C'est pourquoi il est urgent d'entreprendre une réflexion globale sur le rôle de la médecine procréative et sur les conditions éthiques de ses pratiques, quels que soient les couples auxquels sont destinées ces pratiques. (…). Cette pratique ne concerne pas seulement les couples gays. Mais ce sont eux qui militent le plus activement pour sa légalisation .(…)

N'est-ce pas d'abord aux futurs parents eux-mêmes qu'il appartient de s'interroger sur leur démarche et leur projet ? Et d'abord aux femmes, puisqu'elles peuvent d'ores et déjà commander sur le Net des échantillons de sperme. Les tarifs des "Sperm banks" sont disponibles en ligne, avec les photos et les caractéristiques des donneurs.

Un autre champ de réflexion concerne l'homoparentalité en tant que nouveau modèle de filiation. (…)

(Avec le mariage moderne), les droits de tous les enfants reposent désormais sur l'établissement de leur filiation civile, c'est-à-dire leur rattachement aux parents qui les ont conçus et/ou reconnus, mariés ou non. La colonne vertébrale de la famille est ainsi essentiellement la filiation, tandis que le mariage des parents devient en quelque sorte accessoire. (…)

L’homoparentalité signifierait que l'amour homosexuel fonde la parenté possible et permet de remplacer l'hétérogénéité sexuelle du père et de la mère par l'homosexualité masculine ou féminine des parents.(…) Il s'agit bien de créer un nouveau modèle de filiation.

Selon le modèle traditionnel, un enfant est rattaché à un parent au moins, généralement la mère qui l'a mis au monde, et si possible à deux, père et mère. Y compris dans l'adoption, la filiation légale reproduit analogiquement le couple procréateur, asymétrique et hétérogène. Elle en garde la structure, ou le schéma, à savoir celui de l'engendrement biologique bisexué. C'est ainsi que l'on peut comprendre l'anthropologue et ethnologue Claude Lévi-Strauss lorsqu'il écrit que "les liens biologiques sont le modèle sur lequel sont conçues les relations de parenté". Or on remarquera que ce modèle n'est ni logique ni mathématique (du type : 1+1), mais biologique et donc qualitatif (femme + homme) parce que les deux ne sont pas interchangeables. C'est la seule raison pour laquelle les parents sont deux, ou forment un couple. (…)

La question se pose alors de savoir ce qui est signifié à l'enfant rattaché, par hypothèse, à deux mères ou à deux pères. Un tel cumul signifie-t-il que deux pères peuvent remplacer la mère ? Que deux mères peuvent remplacer le père ? Une lesbienne militante, qui ne veut pas ajouter un père à son couple féminin, témoigne dans un magazine : "Deux parents, ça suffit ." Et une autre : "Moi je ne veux pas me coltiner un père pour être mère." Comment ne pas entendre ici une dénégation virulente de la finitude et de l'incomplétude de chacun des deux sexes ?

(extrait de l’article du Monde du 3 février 2013)

Merci à EVR

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31 décembre 2015 4 31 /12 /décembre /2015 15:46

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Le dessin animé de Disney qui sort pour "les fêtes de fin d'année" imagine qu'un jeune dinausore, Arlo, rencontre un petit d'homme.

Les réalisateurs se seraient-ils inspirés des travaux de créationnistes qui prétendent que les dinausores étaient contemporains des Hommes ???

A lire ICI ou LA par exemple... 

 

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25 décembre 2015 5 25 /12 /décembre /2015 12:30

Jésus né un 25 décembre ? Exactement ? Selon l'opinion commune, évidemement non. 

Et pourtant ...

 

  • le 25 décembre 00 ( ?): naissance de Notre Seigneur Jésus Christ.

Date établie par l'Église Catholique pour commémorer la naissance du Christ, à Bethléem en Palestine. Cependant la date du 25 décembre n'a pas été choisie par hasard et les récentes publications scientifiques le démontrent. Le savant israëlien Shermanyahu Talmon a publié une étude sur le calendrier de la secte juive de Qumran, où l'on retrouve le calendrier des services au Temple, que les prêtres assumaient à tour de rôle, au temps de la naissance de Jésus.

La famille d'Abias, à laquelle appartenait le prêtre Zacharie, père de St. Jean Baptiste (Lc 1,5) devait entrer en service deux fois l'an : du 8 au 14 du 3ème mois et du 24 au 30 du 8ème mois. Cette dernière date tombait à la fin de septembre. Il est donc logique que le calendrier byzantin fête la conception de Jean-Baptiste le 23 septembre, neuf mois avant sa naissance, le 24 juin. Les "six mois" dont il est question lors de l'annonce de l'ange coïncide bien avec la fête liturgique du 25 mars, trois mois avant la naissance du Baptiste, le 24 juin, et neuf mois avant le 25 décembre. Voilà qui donne une valeur historique au choix du 25 décembre pour la fête de Noël ! (revue "La Terre Sainte", nov-déc 1999).

Lu sur le salon beige.

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26 novembre 2015 4 26 /11 /novembre /2015 23:27
COP21 : le pape met en garde contre les manipulations

Extrait du discours du Pape aux Nations Unies à Nairobi :

"[...]Dans quelques jours, commencera à Paris une importante rencontre sur le changement climatique, où la communauté internationale, en tant que telle, se confrontera de nouveau à cette problématique. Ce serait triste et j’ose le dire, catastrophique, que les intérêts particuliers l’emportent sur le bien commun et conduisent à manipuler l’information pour protéger leurs projets.

[...] L’Accord de Paris peut envoyer un signal clair dans cette direction, à condition que, comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire à l’Assemblée Générale de l’ONU, nous évitions la «tentation de tomber dans un nominalisme de déclarations à effet tranquillisant sur les consciences. Nous devons veiller à ce que nos institutions soient réellement efficaces» (Ibid.). C’est pourquoi j’espère que la COP21 débouchera sur la conclusion d’un accord global et ‘‘transformateur’’ fondé sur les principes de solidarité, de justice, d’équité et de participation, et qui oriente vers la réalisation de trois objectifs, à la fois complexes et interdépendants: l’allègement de l’impact du changement climatique, la lutte contre la pauvreté et le respect de la dignité humaine. [...]"

Menace bien réelle quand on prend connaissance du communiqué du Planning familial qui milite pour l'avortement pour tous et partout :

"[...] La conférence sur le Climat est une opportunité unique d’intégrer les droits sexuels et reproductifs dans toutes les politiques visant à construire une planète plus saine et vivable pour toutes et tous, un monde plus juste, avec des populations en bonne santé. Il est urgent de reconnaître les droits sexuels et reproductifs ainsi que la participation des femmes à tous les niveaux comme enjeu essentiel dans la lutte contre le dérèglement climatique et la préservation des ressources."

Lu ICI   

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26 novembre 2015 4 26 /11 /novembre /2015 09:06

la suite de cet article

 

(...)

Aujourd'hui la recension de ce livre porte sur le troisième terme de ce questionnement, à savoir la réception qui est faite aux rapports du GIEC et les 5 vérités qui dérangent à leur propos, et sur les conclusions auxquelles aboutit le collectif.

 

1) Les thèses du GIEC ne font pas l'objet d'un consensus scientifique

 

On nous rebat les oreilles avec le prétendu consensus scientifique sur le réchauffement climatique d'origine anthropique. Quand cela serait, cela ne prouverait pas pour autant que le GIEC détienne la vérité. L'histoire des sciences montre qu'un consensus sur une question scientifique peut toujours être remis en cause.

 

Ce qui fait la différence entre la science et la foi, c'est que les théories de la première sont réfutables et que les dogmes de la seconde ne le sont pas... En disant donc que le débat est clos sur le réchauffement climatique, on quitte le terrain de la science pour celui de la religion.

 

Le plus beau est qu'en l'occurrence, il n'est même pas vrai qu'il y ait consensus...

 

Le livre cite notamment parmi les hérétiques de l'actuelle religion climatique:

- trois prix Nobel de physique: Pierre-Gilles de GennesIvar GiaeverRobert B. Laughlin

- un prix Nobel de la paix (comme le GIEC): Norman Borlaug

- 400 scientifiques de haut niveau identifiés dans le rapport du Sénat américain du 20 décembre 2007 (ils sont plus d'un millier aujourd'hui)

 

L'hérétique risque d'être excommunié des revues scientifiques (infiltrées par les partisans du GIEC), d'être déconsidéré "auprès des pouvoirs subisidiant les recherches", d'être privé par ses pairs de tous moyens de recherche. Alors il faut un certain courage et un courage certain pour s'opposer à ce mainstream religieux.

 

2) La presse ne traite pas de la problématique du réchauffement climatique avec tout le recul critique, l'objectivité et l'impartialité qu'on est en droit d'attendre d'elle.

 

Avec les thèses du GIEC, la presse est servie en matière de catastrophisme vendeur. C'est du pain bénit pour elle. André Gide disait: "On ne fait pas de bonne littérature avec de bons sentiments." Il pourrait dire aujourd'hui: "On ne fait pas de bon journalisme avec des prévisions radieuses."

 

Là, pour le coup, il y a quasi consensus dans la presse... pour soutenir les thèses du GIEC, considérées comme incontestables, quitte à tricher sans vergogne pour les besoins de la cause (voir les photos-montages destinés à faire croire à l'extinction des ours polaires...).

 

Ne manquez pas la suite...

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24 novembre 2015 2 24 /11 /novembre /2015 12:28

La suite de cet article

Pour continuer à être informé sur ce sujet ... brûlant, abonez-vous à la Newsletter de Petrus Angel...

 

Climat:15 vérités qui dérangent 2/3: Rapports "scientifiques" du GIEC

Climat: 15 vérités qui dérangent est un livre écrit par un collectif, sous la direction d'István Markó, professeur de chimie à l'Université Catholique de Louvain. (...)

Ce livre poursuit deux objectifs essentiels:

- déverrouiller le débat sur le changement climatique

- exprimer les raisons d'un triple questionnement, qui se traduit par 15 vérités qui dérangent, allusion non voilée au film de propagande de David GuggenheimUne vérité qui dérange (2006), où Al Gore tient la vedette.

 

Aujourd'hui la recension de ce livre porte sur le deuxième terme de ce questionnement, à savoir les Rapports "scientifiques" du GIEC et les 5 vérités qui dérangent à leur propos.

 

Qu'y a-t-il de scientifique dans les rapports du GIEC?

 

1) Il n'est pas scientifiquement établi par les observations que les concentrations atmosphériques mondiales de dioxyde de carbone sont majoritairement la conséquence des émissions de dioxyde de carbone liées à l'utilisation des combustibles fossiles depuis 1750.

 

Bien que le bilan carbone soit des plus complexe, le GIEC prend pour hypothèse que les échanges naturels de dioxyde de carbone entre les océans et les terres émergées sont connus et constants et que seul le dioxyde de carbone "fossile" s'accumule dans l'atmosphère.

Cette façon simpliste de voir les choses est pourtant en contradiction avec des études qui tendent à montrer que la hausse de la température précède celle du CO2, autrement dit que le GIEC confondrait  l'effet avec la cause et inversement.

 

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7 octobre 2015 3 07 /10 /octobre /2015 17:40
Retour sur un livre de 2013. D'actualité.
Interview de Drieu Godefridi pour la sortie du livre Climat : 15 vérités qui dérangent

Contrepoints a interviewé Drieu Godefridi pour la sortie du livre Climat : 15 vérités qui dérangent (sous la dir. scientifique du Pr. Istvan E. Marko, Texquis, 30 mai 2013).

Par la rédaction de Contrepoints.

Vous êtes l’un des huit auteurs de « Climat : 15 vérités qui dérangent », un ouvrage qui paraît ces jours-ci. Quel est votre objectif en publiant ce livre ?

Notre objectif est de rouvrir le débat sur le rôle de l’homme dans l’évolution du climat. Depuis vingt ans, le groupe d’experts des Nations unies sur le climat — le GIEC — certifie que la Terre se réchauffe. « Depuis dix-sept ans, la Terre ne se réchauffe pas », vient pourtant de concéder le président du GIEC, au détour d’une interview (The Australian, 22 février 2013). Aucune organisation soumise au principe de réalité ne survivrait à un tel aveu. Imperturbable, le GIEC poursuit ses travaux.

Une étude vient d’être publiée, qui indique que 97% des scientifiques sont convaincus par la thèse du réchauffement anthropique…

Cet échange régulier de statistiques et de pétitions au sein de la communauté scientifique du climat, où l’on se canarde à coup de prix Nobel, en dit long sur l’état du débat. Il existe des centaines de scientifiques de haut niveau qui approuvent, quels que soient leurs motifs, les conclusions du GIEC ; et des milliers qui les rejettent.

Quelle est cette vérité qui a besoin de tant de vilénies ?

Conclusion ?

Il faut admettre que la science du climat est balbutiante et que les conclusions définitives relèvent, à ce stade, de l’idéologie. Combien, parmi les modèles du GIEC, avaient prédit l’arrêt du réchauffement que nous connaissons depuis une quinzaine d’années ? Aucun, pas un seul. Et nous parlons pourtant de prédictions à 5 ou 10 ans, dans le même temps que le GIEC vous parle tranquillement du climat qu’il fera dans 100 ans. La modestie s’impose. Quand un débat ne peut être tranché en raison, c’est qu’il manque en fait.

La cinquième vérité de votre livre collectif stipule : « Le GIEC dénigre, calomnie et entrave la liberté d’expression de ceux qui ne partagent pas ses thèses ». Pouvez-vous nous donner quelques exemples ?

La suite...

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 16:12

L'eau ? Une énigme que Jean de Poncharrra, Docteur en Physique, ancien chercheur spécialiste de microélectronique au CEA (Commissariat à l'énergie atomique) à Grenoble, nous aide à "comprendre"  ICI.

 

Jean de Poncharra interviendra lors du colloque des 3&4 octobre du CEP, Centre d'Etudes et de Prospective sur la science, "le primat du vivant".

Il est grand temps de s'y inscrire.

 

Résumé de son article "L'énigme de l'eau" : Quelques réflexions sur les surprenantes propriétés de l’eau nous montrent les difficultés des scientifiques à approcher l’essence des choses au moyen de leurs modèles basés sur les mathématiques, la mécanique, la physique ou la chimie. Les scientifiques se heurtent toujours à la même difficulté : ils veulent étendre le domaine des sciences à toute connaissance, même inaccessible à leurs appareils de mesure, au prix de spéculations nonscientifiques. L’eau n’est pas qu’un élément inerte, modélisable par quelques équations, fussent-elles très compliquées. Son action est liée de façon très complexe aux trois autres éléments : feu (chaleur), air (vapeur d’eau) et terre (cycle de l’eau). Introduction. Plus de dix mille publications, plus de 50 millions de pages internet par an, le thème de l’eau est inépuisable. La communauté scientifique internationale dépense des sommes considérables pour rechercher et expliquer les propriétés surprenantes de l’eau. Les modèles proposés sont innombrables et se contredisent souvent. Le CNRS avait classé « les mystères de l’eau » en première place des énigmes scientifiques dans le cadre de l’année mondiale de la Physique 2005, avant les paradoxes quantiques, l’absence d’anti-matière ou la masse manquante de l’univers. En fait, ces paradoxes proviennent de notre approche matérialiste du réel : nos modèles sont trop grossiers et inadaptés à la perfection du cosmos. Et il n’y a aucune garantie qu’ils correspondent à la réalité (le cas du big-bang en est un exemple). Leur caractère explicatif et prédictif n’est que partiel et leurs insuffisances sont la conséquence de notre vision mécaniciste des phénomènes. 

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28 août 2015 5 28 /08 /août /2015 08:36

Colloque des 3 & 4 octobre 2015, à Nevers

 

Le primat du vivant

Programme

Inscription

 

Dominique Tassot, président du CEP, parle de ce collloque

dans cette émission de Radio Courtoisie.

 

« Ce n’est pas un Dieu des morts, mais des vivants » (Mc 12, 27)

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 18:00


« Dieu dit : ‟ Que la lumière soit ” et la lumière fut. »
(Genèse, 1, 3)
L’Unesco a décidé que 2015 serait l’année internationale de la lumière. Et ceci, en particulier, à la suite des indéniables progrès permis par de nombreuses utilisations technologiques, de l’imagerie médicale à l’observation de l’univers, en passant, entre autres, par les lasers et la fibre optique.
Le CESHE (Cercle Scientifique et Historique) a pensé y apporter une contribution originale grâce à sa démarche spécifique unissant sciences et foi, certes en les distinguant mais aussi en les coordonnant. Les 17 et 18 octobre prochains, ce nouveau colloque rémois nous permettra d’explorer plusieurs pistes prenant en compte diverses autres dimensions de la lumière, dans une perspective multidisciplinaire allant de la physique à l’art, de l’histoire à la mystique.
Deux jours de prières et d’études pour s’instruire et réfléchir au-delà des réactions liées à l’actualité immédiate qui engendrent l’activisme, minent nos forces, ou proposent des solutions aussi séduisantes qu’illusoires. A l’inverse, sortons de la matrice où nous enferme l’humanisme sans Dieu, en renouant pour cela avec la vision biblique du monde, sans illuminisme ni fondamentalisme, à la lumière de la foi et de la raison, comme Fernand Crombette nous en a montré le chemin.
Ceci aidera à surmonter le nihilisme contemporain que dissimulent mal des prouesses technologiques qui, lorsqu’elles ignorent le bien et le mal et leur source transcendante, se retournent souvent contre leur auteur, comme le montrent trop de tristes exemples. « Le progrès. Le monde marche ! Pourquoi ne tournerait-il pas ? » s’interrogeait déjà de façon prémonitoire l’homme aux semelles de vent. (Arthur Rimbaud, Une saison en enfer, 1873)
Alors qu’aujourd’hui en effet les idéologies du progrès s’essoufflent, et que de sombres nuages s’amoncellent sur notre monde, nous nous retrouverons en ce mois du Saint Rosaire, dans une ambiance conviviale, ouverte à tous, pour partager notre amitié dans le vrai, pour travailler à nous former, en cette ville du sacre où eut lieu le baptême de la France. Nous nous y souviendrons de l’enseignement de Notre Seigneur qui nous rappelle : « Sans moi, vous ne pouvez rien faire.» (Jean, 15,5) Car Jésus dit: « Je suis la lumière du monde ; qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais aura la lumière de la vie.» (Jean, 8,12)

 

Science et Foi n° 116 – Juillet 2015

On peut découvrir le site du CESHE

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5 août 2015 3 05 /08 /août /2015 21:53

par le Professeur Pierre Rabischong

Les désagréments que nous cause le moustique sont sans proportion avec sa petite taille : il pèse de 2 à 5 milligrammes seulement !.. Pourtant l’appareillage qui lui permet de pomper une quantité bien précise de sang au lieu convenable, est d’une complexité et d’une perfection qui fait paraître ridicules les seringues de nos infirmières. Seuls les femelles de 3,3% des espèces de moustiques ont besoin de sang pour la maturation de leurs œufs. Vu leur faible poids, elles ne pourraient enfoncer un simple dard dans la peau, comme l’aiguille de nos seringues. Elles disposent donc de palpes maxillaires vibrants de chaque côté de la trompe. Des capteurs détectent le sang et deux minicompteurs mesurent le débit. Une substance est injectée pour éviter la coagulation du sang dans un conduit aussi étroit, etc… Il est clair que toute cette machinerie a pour auteur un maître-ingénieur et ne doit rien au hasard.

                   La suite...

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21 avril 2015 2 21 /04 /avril /2015 23:42

Loch Ness : Google rend hommage à Nessie

Et pour fêter l'événement, Google a décidé de créer un doodle hommage et même de vous balader sur le fameux lac écossais ...

 

De son côté, Laurent Glauzy affirme que les plus grands scientifiques défendent le Loch Ness ...

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19 avril 2015 7 19 /04 /avril /2015 08:26
Ostension du Saint Suaire
à Turin : 19 avril au 24 juin
Le Suaire est un linceul de lin tissé en chevron mesurant environ 4,41m x 1,13m, qui contient la double image, l’image frontale et l’image dorsale se joignant par la tête, du cadavre d’un homme nu mort à la suite d'’une série de tortures ayant culminé avec le crucifiement. L'’image est entourée de deux lignes noires qui sont des traces de brûlure, et d’'une série de lacunes : ce sont les dommages provoqués par l'’incendie qui se produisit à Chambéry en 1532. Selon la tradition, il s’agit du Linceul, cité par les Evangiles, qui servit à envelopper le corps de Jésus au tombeau. Il est certain que le Suaire, en raison des caractéristiques de son empreinte, renvoie directement et immédiatement à la dramatique réalité de la Passion de Jésus, qu'’il aide à comprendre et à méditer. C’est pour cette raison que le Pape l'’a défini « miroir de l'’Evangile ».

La suite...

 Sur cette page, vous trouverez l'entière description du Suaire.

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5 avril 2015 7 05 /04 /avril /2015 08:06
La photo du Christ
Le samedi 25 juin 1898, la Semaine religieuse du diocèse de Valence rendit compte de la première photographie du Linceul, en traduisant le compte-rendu que Philippe Crispolti avait donné à l'Osservatore Romano. 
 "On commença à développer les épreuves, et c'est alors qu'il se produisit un fait merveilleux. Comme on le sait, les taches ou ombres du Saint-Suaire vues directement, présentent le double dessein de la dépouille sacrée du Sauveur, parce que le corps ayant été déposé sur l'une des extrémités du Linceul et puis l'autre extrémité ayant été étendue sur le corps du côté de la tête, il y est resté la sanglante empreinte du dessous et du dessus. Ce double dessin, quoique décoloré, était très clair et assez détaillé, mais il donnait une idée des contours plutôt que des linéaments. Or, on savait que la négative photographique aurait renversé les couleurs, c'est-à-dire laissé en blanc les empreintes ; mais on supposait que, dans tous les cas, cette inversion aurait conservé ce qu'il y avait d'indéterminé dans l'original. 
 Au contraire, au fur et à mesure que l'image photographique se développait dans le bain, on voyait apparaître quelque chose de vraiment inattendu. C'était le dessin parfait et complet de la Sainte-Face, des mains et des membres, qui venait à la lumière, comme si au lieu de reproduire le Linceul où le corps fut enveloppé, on avait pris directement l'image du divin Martyr. Le Saint-Suaire était donc lui-même une négative exacte, quoique en apparence indéchiffrable, du sanglant cadavre que l'on y avait déposé...
Ne manquez pas la suite...
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16 novembre 2014 7 16 /11 /novembre /2014 18:27

L'atterrissage (acomètissage ?) du robot Philae  sur la comète Churyumov-Gerasimenkoe a amené les journalistes et les scientifiques interrogés par les journalistes à valser avec les milliards d'années.

L'homme de la rue peut se demander : Pourquoi des milliards d'années ? Pourquoi 15 milliards pour l'Univers ? 4,5 milliards pour la Terre ? ( Pourquoi "et demi" au fait ?).

Que savons-nous de l’âge de l’univers ? Jonathan F. Henry tâche de répondre à cette question : 

La croyance dans un univers vieux de milliards d’années est aujourd’hui si répandue qu’il paraît difficile d’en douter. Or la manière dont cet âge a été progressivement élaboré montre que toutes les estimations, y compris par les radio-éléments, reposent directement ou indirectement sur l’âge estimé pour les roches terrestres en fonction de l’idée d’une lente évolution des espèces fossiles. Si l’univers est donné comme plus vieux que la terre, c’est uniquement parce que le contraire serait absurde ; mais l’astrophysique pourrait très bien, moyennant de laborieuses révisions, accepter pour la terre un âge en milliers d’années plutôt qu’en millions ou en milliards d’années. 

Le Temps est la condition essentielle de l'Évolution. Partisan d'un vieil univers, Hugh Ross écrit que, s'agissant des origines, "l'âge n'est même pas un problème" et que "l'âge de l'univers et de la terre est une question marginale." Au contraire, il y a quelques décennies l'astrophysicien Arthur S. Eddington reconnut la primauté absolue du temps, sans lequel l'évolution serait impossible et inconcevable: "Regardant en arrière vers le long passé, nous imaginons le commencement du monde – un chaos primitif que le temps a façonné en l'univers que nous connaissons." Une telle formulation paraît suggérer que le temps a supplanté le Créateur. Puisque ceci demeure la perspective habituelle de la fonction du temps dans l'évolution cosmique, il s'en suit que la question de l'âge entre implicitement dans toute théorie évolutionniste. 

... L'article complet, paru dans la revue LE CEP est ICI.

* Traduit du Creation Research Society Quarterly, vol 40 (3), déc. 2003, par Claude Eon. Le Cep n°28. 3ème trimestre 2004  

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17 août 2014 7 17 /08 /août /2014 09:35

La suite de Jésus-Christ a existé (1) ...

 

II. Le témoignage des auteurs chrétiens

Jésus-Christ nous est connu essentiellement par les quatre Évangiles (du grec "euanggelion", bonne nouvelle), par les Actes des Apôtres, par les Épîtres de saint Paul, de saint Jean, de saint Pierre, de saint Jacques et de saint Jude, et par l'Apocalypse de saint Jean. Ces vingt-sept livres forment le Nouveau Testament. Nous nous bornerons ici à étudier les Évangiles: ceux-ci suffisent amplement à prouver que Jésus a existé; et ils nous font connaître les événements de sa vie ainsi que son enseignement:

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17 août 2014 7 17 /08 /août /2014 07:20

 

Est-ce que le Christ historique qui vécut il y a 2000 ans a réellement existé ? N'est-ce pas ridicule de croire en cet homme qui marcha sur l'eau, guérit les malades et ressuscita des morts ?

Réponse à Michel Onfray et aux libres penseurs.

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