La lecture de Nomade blanc, de Philippe Frey, l’Alsacien qui a traversé tous les déserts de la planète, ou encore celle deL’Appel du silence, d’un autre Strasbourgeois, Charles de Foucauld, l’ermite de Tamanrasset, m’avait donné le goût aventureux d’un réveillon pas comme les autres.
Ni foie gras, ni chapon fermier cette fois, mais figues et dattes, sur les pistes du grand Sud tunisien. « Le grand désert pour poncer les âmes », selon le conseil de Théodore Monod, autre éminent saharien, « chercheur d’absolu » qui, à l’âge de 94 ans, parcourait encore les pistes du Tibesti à la recherche d’une fleur qui n’existerait que là-bas…
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