Nous apprenons que cette année (2015) 3 % des « mariages » en France ont concerné des duos homosexuels. Paris atteint le record avec 1.331 unions homosexuelles soit 13 % de la totalité des mariages. Dans le quartier du Marais, ce chiffre passe à 32 %. Compte tenu des données qui viennent d’Amérique, nous pouvons vraiment leur souhaiter du bonheur car ils vont en avoir besoin.
Nous avons donné les références de nos affirmations en nous basant sur des recherches scientifiques ; ceci non pas pour allonger le texte mais afin de ne pas pouvoir être accusés d’homophobie. Ces références ont été laissées en langue américaine afin de faciliter d’éventuelles recherches à nos lecteurs. Les titres des articles concernés se suffisent souvent à eux-mêmes.
Nous pensons réellement rendre service aux homosexuels en leur exposant ces faits établis par des travaux scientifiques.
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Une étude a suivi 156 couples de même sexe. Seulement sept d’entre eux pratiquaient la fidélité dans leurs relations sexuelles. Il est noté que cette situation favorisait la diffusion des maladies vénériennes et les états de détresse psychologiques. (McWhirter, D. and Mattison, A. “The Male Couple: How Relationships Develop.” (Upper Saddle River, NJ: Prentice Hall).
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Les couples de lesbiennes sont statistiquement très instables par rapport aux couples hétérosexuels. (“Comparative Relationship Stability of Lesbian Mother and Heterosexual Mother Families: A Review of Evidence,” Marriage and Family Review 46: 499-509).
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Une étude danoise parue en 2011 concerne les douze premières années de légalisation du partenariat homosexuel (les Danois n’ont pas osé qualifier ce type d’union de « mariage »). Le risque de suicide chez les hommes est multiplié par huit. (Mathy, R. et al. 2011. “The Association between Relationship Markers of Sexual Orientation and Suicide: Denmark, 1990-2001,” Social Psychiatry and Psychiatric Epidemiology, 46: 111-117).
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En 2010, l’ U.S. National Longitudinal Lesbian Family Study a établi que 40 % des couples de lesbiennes ayant conçu un enfant par PMA s’étaient séparés. (Gartrell, N. & Bos, H. 2010. “U.S. National Longitudinal Lesbian Family Study: Psychological Adjustment of 17-year-old Adolescents,” Pediatrics, 126 (1): 28-36.)
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Une étude effectuée en Afrique Sub-saharienne établit que 7 % des hommes avaient été les victimes d’abus sexuels par d’autres hommes au cours de leur vie. Ce chiffre passait à 39 % parmi les homosexuels. (Greenwood, G. et al. 2002. “Battering victimization among a probability-based sample of men who have sex with men,” American Journal of Public Health, 92:1964–69).
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Une importante étude de la revue Cancer publiée en mai 2001 établissait que les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes avaient deux fois plus de risques de faire un cancer que les hétérosexuels. Cette maladie apparaissait à un âge moyen de 41 ans alors que pour le reste de la population masculine elle émergeait à 51 ans. (Boehmer, U. et al. 2011, “Cancer Survivorship and Sexual Orientation,” Cancer, 117:3796–3804.)
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Le Wall Street Journal du 12 novembre 2014 publiait un article pour avertir que le nombre de cancer de la gorge causé par le Papilloma virus (contre lequel on pousse abusivement les petites filles à se vacciner en France par le Gardasil) avait augmenté de 72 % entre 2000 et 2004. Électivement ce cancer touchait les hommes ayant multiplié leurs partenaires masculins.
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En 2012, Finneran and Stephenson ont passé en revue 28 études concernant les violences chez les homosexuels de sexe masculin. Leur conclusion était la suivante : La violence intime entre partenaires (IPV) qu’elle soit psychologique, physique ou sexuelle, a atteint chez les partenaires masculins de même sexe des taux alarmants. (Voir p. 180. P. Finneran, C., Stephenson, R. 2012. “Intimate Partner Violence Among Men Who Have Sex With Men: A Systematic Review,” Trauma, Violence and Abuse, 14: 168-185.)
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En 2007, une étude diligentée par la New York Academy of Medicine établit que plus de 32 pour cent des homosexuels actifs avaient souffert d’ « abus » par un ou plusieurs partenaires au cours de leur vie. Le tout ayant entraîné des dépressions nerveuses et l’usage de stupéfiants. (Houston, E. & McKiman, D.J. 2007, “Intimate Partner Abuse Among Gay and Bisexual Men: Risk Correlates and Health Outcomes,” Journal of Urban Health 84: 681-690.)
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En 2014 la synthèse de 19 études venant de l’Afrique Sub-saharienne a établi que la violence intime entre partenaires de même sexe (IPV) était de 48 % (Buller, A. et al. 2014. “Associations between Intimate Partner Violence and Health among Men Who Have Sex with Men: A Systematic Review and Meta-Analysis.” PLOS Medicine, 11(3): e1001609. doi:10.1371/journal.pmed.1001609.)
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Une recherche effectuée à Amsterdam établit que 86 % des nouveaux cas de sida concernait les couples homosexuels instables. (Xiridou, M. et al., “The contribution of steady and casual partnerships to the incidence of HIV infection among homosexual men in Amsterdam,” AIDS 17:1029-38.).
Sans commentaires…
Source : dans Bioéthique et Santé — par Jean-Pierre Dickès — 3 janvier 2015