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24 novembre 2023 5 24 /11 /novembre /2023 16:41

 

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29 octobre 2023 7 29 /10 /octobre /2023 22:09

Jésus, élève à l'école de Nazareth, rentre chez lui avec son bulletin scolaire lequel n'est franchement pas très bon. Sa mère, Marie, a déjà vu le mauvais bulletin mais n'a rien dit préférant méditer toutes ces choses dans son cœur. Cependant, aujourd'hui, le plus difficile reste à venir : il faut le montrer à Joseph… 

Expéditeur : École Siméon de Nazareth 
Destinataires : Joseph et Marie David 
Objet : Bulletin scolaire de Jésus 

Mathématiques : Ne sait quasiment rien faire, à part multiplier les pains et les poissons. 

Sens de l'addition : N'est pas acquis ; affirme que son Père et lui ne font qu'un. 

Écriture : N'a jamais ses cahiers et ses crayons ; est obligé d'écrire sur le sable. 

Géographie : N'a aucun sens de l'orientation ; affirme qu'il n'y a qu'un seul chemin et qu'il conduit chez son Père. 

Chimie : Ne fait pas les exercices demandés ; dès qu'on a le dos tourné, transforme l'eau en vin pour faire rigoler ses camarades. 

Éducation physique : Au lieu d'apprendre à nager comme tout le monde, il marche sur l'eau. 

Expression orale : Grosses difficultés à parler clairement ; s'exprime sous forme de paraboles. 

Ordre : A perdu toutes ses affaires à l'école et déclare, sans honte, qu'il n'a même pas une pierre pour oreiller. 

Conduite : Fâcheuse tendance à fréquenter les étrangers, les pauvres, les galeux et même les prostituées. 

Joseph, sachant que ça ne peut pas durer, qu'il doit prendre des mesures sévères, dit : « Eh ben, mon p'tit Jésus, puisque c'est comme ça, tu peux faire une croix sur tes vacances de Pâques ! »

Vu sur le Blog Seraphim

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21 octobre 2023 6 21 /10 /octobre /2023 08:40

La bêtise, ça ne s'explique pas. Il faut des exemples. A suivre… En vous inscrivant dans "Newsletter", vous aurez la suite … Vous pouvez aussi faire suivre …

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25 septembre 2023 1 25 /09 /septembre /2023 08:40

 

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17 juillet 2023 1 17 /07 /juillet /2023 15:20

 

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14 juin 2023 3 14 /06 /juin /2023 11:18

 

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9 juin 2023 5 09 /06 /juin /2023 07:15

 Le suédois

Le norvégien

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20 mai 2023 6 20 /05 /mai /2023 23:06

La chronique de Gaspard Proust : «L’écriture inclusive, cette machine à exclure»
"(...) Comme tous les concepts accouchés par le progressisme, il faut aller chercher dans le dictionnaire officieux laissé par Orwell la véritable définition de l’écriture inclusive. On t’y expliquera que la guerre c’est la paix, que la liberté c’est l’esclavage et que l’écriture excluante c’est l’écriture inclusive. Car la voilà la vérité grasse, il n’y a sans doute pas plus excluant que l’écriture inclusive. Outre la laideur congénitale de ces hiéroglyphes pour Champollion à QI d’huître, elle est d’abord et avant tout une formidable machine à exclure. La diversité humaine étant par nature infinie, la prétention de vouloir inclure tout le monde est une chimère absolue.
Il suffit de prendre le sigle LGBT pour s’en convaincre. Au fil du temps, c’est toute une inflation de signes alphanumériques qui se sont collés à ces initiales dans le seul but de ne surtout pas mettre de côté la plus rocambolesque des pratiques. Entre les Q+, les Y- et les triple A dièse, l’homme de la rue a du mal à suivre. Évidemment, il en souffre. Un bonheur terrestre est-il vraiment envisageable sans être à jour sur le mystère « fornicatoire » de la chambre à coucher du voisin ? Qui peut sérieusement imaginer un monde meilleur en ignorant qu’au rez-de-chaussée de son immeuble s’ébroue joyeusement un « trouple » dont l’un des protagonistes piaffe d’impatience à l’idée d’enfin allaiter bébé par lactation pectorale grâce aux inestimables progrès de la chirurgie de genre ?
S’il fallait inclure par les mots tous les êtres humains riches de leurs petites fantaisies, alors il faudrait sans doute ajouter 8 milliards de signes alphanumériques au mot LGBT, sans oublier la lettre H du mot « hétérosexuel ». Après tout, quoi de plus subversif pour un homosexuel que de revendiquer une sexualité hétéro ? On tiendrait là un sommet de subversion !
Il est une phrase que j’aime beaucoup et qui dit que « Dieu a fait l’homme à son image ». Les athées la moquent régulièrement, y trouvant par l’évidente misère de l’homme la preuve flagrante de l’inexistence de Dieu. Il s’agit pourtant de la phrase la plus inclusive qui soit. Elle sonne comme une déclaration d’amour faite à la singularité des hommes : « Vous êtes presque 8 milliards, pas l’un de vous ne ressemble à l’autre, mais tous vous portez quelque chose de mon visage. »
En vérité, le délire inclusif est la négation absolue de la diversité humaine ; une illusion de singularité dans un océan de conformisme. Il pense promouvoir des différences alors qu’il ne fait que multiplier des cases. Il prétend pouvoir dire toutes les possibilités de l’homme par des mots abscons qui ne seront jamais ni suffisamment abscons, ni suffisamment nombreux pour contenir le monde. En vérité, l’écriture inclusive n’est pas une écriture, mais une comptabilité. Un poème enfermé dans une case Excel. Respectueusement."

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11 mai 2023 4 11 /05 /mai /2023 11:14
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27 avril 2023 4 27 /04 /avril /2023 11:35

 

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25 avril 2023 2 25 /04 /avril /2023 09:10

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1 avril 2023 6 01 /04 /avril /2023 18:05

 

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29 mars 2023 3 29 /03 /mars /2023 18:25

La bêtise, ça ne s'explique pas. Il faut des exemples. A suivre… En vous inscrivant dans "Newsletter", vous aurez la suite … Vous pouvez aussi faire suivre 

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18 février 2023 6 18 /02 /février /2023 12:29

 

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18 février 2023 6 18 /02 /février /2023 10:21
Socrate enseignant à la jeunesse ©Wikimedia
Socrate sur les ondes

– Il est onze heures sur Radio Tendances. Il est temps de passer l’antenne à  Georges Ladandinière pour son émission L’esprit ouvert. Bonjour Georges.
– Bonjour Armande, bonjour à toutes, bonjour à tous. Bienvenue pour cette nouvelle édition de L’esprit ouvert , en compagnie de Claudine Sotenville. Bonjour Claudine, comment allez-vous ce matin?
– Bonjour Georges, dites-moi, vous portez un magnifique tee-shirt !
– N’est-ce pas ? Aujourd’hui, nous accueillons le philosophe Socrate. Bonjour Socrate.
Socrate salua aimablement.
-Qu’il est laid ! murmura Claudine à l’oreille de l’animateur en chef, heureusement que nous ne sommes pas à la télé !
– Bonjour Socrate… Bonjour…!
Pourquoi ne répond-il pas, ce zouave ? pensa Ladandinière. Mais en bon professionnel qu’il était, il reprit :
– Alors Socrate, vous êtes un philosophe réputé, vous avez beaucoup écrit.
– Non, par Zeus, je n’ai rien écrit.
– Vous n’avez rien écrit ?
– Pas une ligne.
– Mais alors…, mais alors… ? Enfin.., je veux tout de suite vous demander votre avis sur l’affaire qui nous préoccupe tous. Hier, vous le savez certainement, le site prestigieux Manip-média a publié un témoignage accablant contre le ministre Constant Tournebride. Je rappelle l’affaire : le jeune Tournebride aurait dérobé trois ou peut-être quatre billes à Stéphanie Baratineuse au jardin d’enfants et, sur ses protestations, aurait répliqué : « Les filles, ça ne sait pas jouer aux billes ! ». L’association « Halte à la fillophobie » a aussitôt dénoncé ce dérapage et demandé la tête du ministre, le chef de l’opposition a emboîté le pas. Bref, nous sommes en plein Tournebridegate. Qu’en pensez-vous, Socrate?
– Je ne sais pas. Je ne suis pas capable de répondre à cette question.
– Mais enfin, Socrate, une telle violation de l’égalité, de la justice !
– De quelle justice voulez-vous parlez ?
– Eh bien de la justice, vous savez, la justice !
– Mais la justice n’est-elle pas une question difficile ?
– Oui, non, et vous Socrate, quelle est votre définition de la justice ?
– Je ne sais pas. La justice se vit plutôt qu’elle ne se définit. J’en ai parlé  avec Thrasymaque et nous avons convenu que l’injustice est un vice et la justice une vertu.
Thrasymaque, Thrasymaque, qui est ce zigoto ?  se demanda Ladandinière. Puis il se dit qu’il avait trouvé un bon angle d’attaque et enchaîna :
– Un vice, une vertu, c’est un vocabulaire qui sent le réactionnaire. Seriez-vous réactionnaire, Socrate ?
– Je ne sais pas. Qu’entendez-vous par réactionnaire ?
– Vous savez bien,  ces gens à l’esprit fermé, ces rétrogrades, ces populistes.
– Vous savez, la seule chose que je sais est que je ne sais rien. Je serais bien incapable de répondre.
– Bon, alors seriez-vous du côté des populistes ?
– Je ne sais pas. Qu’entendez-vous par populiste ?
Il est impossible, ce zig ! pensa Ladandinière. Mais il poursuivit avec courage :
-Écoutez, vous savez bien, Socrate, ces gens qui critiquent les élites, ces esprits fermés, ces réactionnaires.
– Non, je ne sais pas.
– Bon, enfin, à quel camp appartenez-vous ?
– De quels camps parlez-vous ? 
– Mais Socrate, êtes-vous tombé de la lune ? Je parle de l’opposition entre les hommes de progrès, les hommes des Lumières et puis les conservateurs, les rétrogrades. Et puis Socrate, voulez-vous cesser de répondre à mes questions par des questions ?
– Pourquoi ? Est-il interdit de poser des questions ?
– Non, mais la règle est que le journaliste pose des questions et que l’invité réponde
– Oui, mais est-ce une bonne règle ?
– Oh ! Ce n’est pas le sujet, Socrate.
– Je veux dire : pourquoi les journalistes ne veulent-ils pas qu’on leur pose des questions ?
– Parce que c’est comme ça que doit se passer une interview. Mais dites-moi, Socrate, ne seriez-vous pas de ceux qui prennent les journalistes comme bouc émissaire, qui ne cessent de les critiquer ?
– Vous savez, je suis tout neuf dans ce pays-ci. Je me garderais bien de porter un jugement. Mais pourquoi ne peut-on critiquer les journalistes ?
– Encore une question ! Mais la réponse est facile : parce que les journalistes incarnent la liberté d’expression, parce que les critiquer c’est porter atteinte à la liberté, à la démocratie.
– De quelle liberté parlez-vous ?
– Encore ! Mais de la liberté d’expression tout court ! Cela coule de source.
– Par exemple, est-ce que la liberté d’expression des journalistes comprend celle de dire des choses incertaines ou erronées ?
– Euh, qu’est-ce que vous allez chercher ? Non bien sûr.
– Est-elle celle de dire des choses mensongères ?
– Non, non, non. Écoutez, c’est moi qui pose les questions !
– Je termine, ce sera bref. Donc vous convenez que la liberté d’expression est ordonnée à quelque chose qui la dépasse ?
– Peut-être, sans doute.. Mais, je vous en prie, Socrate, revenons à notre sujet. Revenons à … je ne sais plus.
– Poursuivons si vous le voulez bien. À quoi donc la liberté d’expression est-elle ordonnée ?
– Mais vous m’empoisonnez… à la fin, je ne sais pas moi, on ne parle jamais de ces choses dans les écoles de journalisme.
– Ce à quoi la liberté d’expression est ordonnée, ne serait-ce pas le vrai ?
– Oui, peut-être, si vous voulez.
– Donc la liberté que vous réclamez est celle de dire le vrai ?
-Oui, c’est ça, voilà.
– Donc, si un journaliste ne dit pas le vrai, n’est-il pas raisonnable de le critiquer ?
– Si vous y tenez, oui, mais cela n’arrive jamais.
– Voulez-vous dire que les journalistes sont infaillibles et qu’ils ont en horreur toute tricherie ?
– Ah c’est trop ! Merci, merci Socrate ! C’était, c’était L’esprit ouvert, une émission de…, de… Ladandinière Georges. La semaine prochaine, …eh bien…, vous verrez bien. Une page de publicité.

 À la sortie du studio, une poignée de journalistes assaillirent Socrate. Il réussit à s’enfuir, mais l’un d’eux, le plus véloce, le plus jeune, le rattrapa.
– Je vous en prie, Socrate, je vous en prie, un mot. Si je reviens bredouille, mon rédacteur en chef va me saquer. Et puis, je vous connais, j’ai lu votre disciple Platon.  Socrate s’arrêta.
– Je travaille au  Temps, dit le jeune homme avec fierté. Et il enchaîna très vite: Voilà, voilà ma question. Je suis sûr qu’elle va vous intéresser. Vous dites dans le Phèdre que l’écrit est par nature défectueux parce qu’on ne peut savoir à qui on s’adresse, alors que la parole permet de dire à chacun ce qu’il est bon pour lui d’entendre. Alors pourquoi avez-vous accepté de parler à la radio ? Vous me direz que vous avez parlé sans doute, mais la radio a les défauts de l’écrit  : vous ne pouviez savoir précisément  à qui vous vous adressiez.
– Oui, oui, je vous félicite. Mais pouvez-vous dire que j’ai dit beaucoup de choses à la radio ?
– Oui, non, enfin vous avez posé beaucoup de questions.
– C’est ma manière habituelle, mais pensez-vous que nous sommes allés bien loin ?
– Je suppose que vous allez encore incriminer les journalistes.
– Je  demande seulement si un entretien ordinaire à la radio se prête à la dialectique, je veux dire à un vrai dialogue.
– Mais certainement. Le micro vous était ouvert.
– N’est-il pas vrai qu’en général les journalistes de radio restent à la superficie des choses ?
– Vous êtes bien sévère ! 
– Qu’ils répugnent aux  développements ?
– Mais c’est la loi du genre ! 
– Qu’ils aiment faire du spectacle et jouer l’arbitre des élégances ?
– Vous exagérez !
– Et donc que le mieux à faire est de faire passer au journaliste un examen qui puisse lui être utile et le soit également à ceux qui écoutent ?
– Ah, c’est ça, vous êtes allé à la radio pour dire du mal de la radio ! Ou plutôt pour donner à voir… Mais, mais, je ne peux pas écrire ce que vous dites, mon rédacteur en chef ferait une attaque. Dites-moi quelque chose que je pourrai écrire. Je ne sais pas moi, sur.., sur… Voilà, quels conseils donneriez-vous à un jeune homme ?
– Mais, mon jeune ami, moi, je ne sais rien. Je ne fais qu’essayer d’accoucher l’esprit de celui avec qui je parle.
– Allez-y, allez-y, je suis prêt.
– J’en serais heureux si la chose était possible mais le temps est trop court. Je dois être aux Champs Élysées dès cet après midi.

Le jeune homme parut si désappointé, si chagriné que Socrate ajouta:
– Deux mots pour dire la bonne direction : la première chose est de s’étonner, la seconde, qui est la chose essentielle, est de bien vivre. La connaissance suivra. Soyez courageux et vous apprendrez ce qu’est le courage, soyez juste et vous apprendrez ce qu’est la justice.
– Et puis et puis, pouvez-vous préciser ?
– J’ajouterai seulement ceci : les hommes croient savoir ce qu’ils ne savent pas et il ne savent pas ce qu’ils savent. Pour le reste, voyez le jeune Platon. 

Et Socrate s’éclipsa avec la prestesse d’un jeune homme. Son juvénile interlocuteur se sentit pousser des ailes. Il se plongea dans Platon, réécrivit mille fois son article, enfin l’apporta tout fier à son rédacteur en chef. Celui-ci le lut en diagonale et le jeta aussitôt à la corbeille.
– Socrate, ce vieux schnock ! Avec sa morale de grand-papa ! À quoi penses-tu, fiston ? Nous sommes un journal sérieux.

Philippe Bénéton

© LA NEF, exclusivité internet, mis en ligne le 17 février 2023

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15 février 2023 3 15 /02 /février /2023 10:22

 

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10 février 2023 5 10 /02 /février /2023 23:37

 

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6 février 2023 1 06 /02 /février /2023 10:36

Voici une histoire de bottes, l'histoire, que l'on m'affirme être vraie, d'une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde...

Un des gamins lui demande de l'aide pour mettre ses bottes pour aller en récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler.
Après avoir poussé, tiré, re-poussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit :
- "Elles sont à l'envers, maîtresse".
La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet il y a eu inversion des pieds... Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds
Et là, le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants :
- "C'est pas mes bottes".
A ce moment, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une baffe, fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit avant...
Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.
Elle dit alors :
- "Bon, allez, on les enlève" et elle se met à nouveau au boulot.
Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :
- "C'est pas mes bottes, c'est celles de mon grand frère, mais maman a dit que je dois les mettre".
Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re- re- mettre ses bottes.
L'opération est enfin réussie et la maîtresse se sent fière d'avoir réussi.
Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande :
- "Où sont tes gants ?"
Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :
- "Pour pas les perdre, je les ai mis dans mes bottes."

 

RESTE 15 GAMINS ...

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24 janvier 2023 2 24 /01 /janvier /2023 17:37

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22 janvier 2023 7 22 /01 /janvier /2023 18:44

La retraite,

c'est aussi sur Petrus Angel

:)

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9 janvier 2023 1 09 /01 /janvier /2023 07:41

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26 décembre 2022 1 26 /12 /décembre /2022 18:12

 

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9 décembre 2022 5 09 /12 /décembre /2022 12:35

 

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5 novembre 2022 6 05 /11 /novembre /2022 08:04

Le chien suivait l’enterrement du maître.

Il pensait aux caresses ;

Et il pensait aux coups.

Les caresses étaient plus fortes…

Dans le cortège, on s’indignait beaucoup.

On excusait la veuve — elle était comme morte.

On pardonnait à la maîtresse

(Elle était morte aussi).

Mais, qu’en la présence du prêtre,

La bonne ait pu laisser vagabonder ainsi

Ce chien au milieu du cortège !

Ah !
Ces filles vraiment ne se font nul souci.

Quelqu’un, l’ordonnateur, la famille, que sais-je ?

Aurait dû l’obliger à attacher le chien !

Elle-même, voyons !

C’est une propre à rien

Qui n’avait même pas l’excuse du chagrin.

Pourquoi la gardaient-ils?

Un ménage d’artistes…

De véritables bohémiens.

Ce monde-là vivait d’une étrange manière…

De coup de pied en coup de pied dans le derrière,

Rejeté à la queue du cortège, le chien

Songeait que seule la bonne était triste;

La bonne qui ne disait rien,

Et à qui ne parlait personne.

Il suivit jusqu’au bout aux côtés de la bonne.

Au cimetière, tous les deux au dernier rang

Ils écoutèrent le discours du président

De la Société des Auteurs Dramatiques.

A la fin, las du pathétique,

Le chien s’avança posément

Et, pour venger un peu la bonne,

Il pissa sur une couronne.

Hugomanie

source

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22 octobre 2022 6 22 /10 /octobre /2022 16:02

... on ne compte pas.

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