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9 août 2021 1 09 /08 /août /2021 07:47

« La Révolution française a fait plus de morts en un mois au nom de l’athéisme que l’Inquisition au nom de Dieu pendant tout le Moyen-Âge et dans toute l’Europe. » (Pierre CHAUNU, historien protestant, Eglise, Culture et Société, SEDES, 1981, cité dans le quatrième numéro hors-série de L’Homme nouveau sur quelques mythes de l’histoire antichrétienne)

 

Notons que Pierre CHAUNU était spécialiste de l’Histoire sociale et religieuse, grande figure française de l’Histoire quantitative (c’est-à-dire des chiffres et des statistiques, ce qui est très utiles lorsqu’il s’agit de démystifier les mensonges sur l’Inquisition), membre puis président de l’Académie des sciences morales et politiques, professeur des universités et reconnu comme historien sérieux.

La suite ICI sur le site "Philosophie du Christianisme". Une mine d'informations sur l'Histoire, la doctrine, etc.

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7 août 2021 6 07 /08 /août /2021 10:08
La liberté, c’est de se soumettre au pass sanitaire
L’immunité artificielle est meilleure que l’immunité naturelle
Si les gens vaccinés tombent malades ou développent des formes graves, c’est la preuve que le vaccin marche
Si le vaccin fonctionne moins bien contre un nouveau variant, c’est qu’il faut reprendre une dose du même vaccin.
Toute personne testée positive à un test PCR est une personne malade.
Toute personne en bonne santé est un malade qui s’ignore et dont il faut se méfier.
 
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5 août 2021 4 05 /08 /août /2021 08:49

Ah bon ? 

 

Un scientifique israélien affirme que le COVID-19 pourrait être traité pour moins de 1$/jour

source

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4 août 2021 3 04 /08 /août /2021 09:24

Comment George Soros étend son influence sur les Nations unies

Un rapport démontre qu'un petit nombre d'ONG et de fondations a pris la main sur le Conseil des droits de l'homme de l'Onu, transformé en outil d'influence au service de leur idéologie. Révélations.

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22 juillet 2021 4 22 /07 /juillet /2021 17:53

Une mesure perçue par beaucoup de Français comme une infantilisation supplémentaire

Nesrine Briki 

Après le port du masque en l’extérieur ou les incroyables attestations dérogatoires de sortie en début d’épidémie, le passe sanitaire se révèle surtout être un formidable outil de contrôle et de surveillance.

Le bruit excessif empêche la réflexion, c’est un fait. Actuellement, nous sommes, hélas, en pleine cacophonie névrotique ; entre les excentriques qui se comparent aux juifs sous Vichy, détourant sans honte aucune l’étoile jaune, et les autres zélés bien intentionnés, adeptes du « on ira piquer les non vaccinés jusqu’aux chiottes », nous frôlons l’hystérie collective. Dix minutes de visionnage d’une chaîne d’information en continu, ou un tour sur les réseaux sociaux, achèveront de vous en convaincre.

L’essentiel est invisible à la raison

Ce brouhaha incessant trouble la communication et brouille les esprits, il exclut toute discussion sereine ou rationnelle, entretient la confusion et la panique, mais plus que tout : il crypte l’essentiel de ce qui se joue sous nos yeux.

Dans les lignes qui suivent, ne sera évoqué aucun chiffre lié à l’épidémie, et aucun avis sur la vaccination (quasi) obligatoire ne sera donné. Je ne suis ni pour ni contre, bien au contraire ! Blague à part, premièrement, d’autres le font nettement mieux que moi, ensuite, ce n’est pas l’objet de ce billet.

A lire aussi: Didier Raoult: “On ne peut pas créer un virus, c’est du cinéma!”

Le véritable souci ne réside pas dans le vaccin lui-même, les vaccins sont une magnifique avancée, comment ne pas se réjouir lorsque les cas liés au virus de la polio, si fréquents dans mon enfance algérienne, sont aujourd’hui presque inexistants ? Le véritable enjeu concerne surtout le fait de devoir scanner un QR code pour aller au théâtre, à la salle de sport, ou même pour acheter du PQ.

Quand la politique et la pensée magique se donnent la main

Le passe sanitaire, décrié quelques temps auparavant comme appartenant à la sphère des théories du complot, devient obligatoire. Ainsi, à compter du 21 juillet, pour pénétrer dans les lieux de culture et de loisirs accueillant au moins 50 personnes, il vous faudra dégainer votre smartphone, ou, pour les plus archaïques, un bout de papier prouvant que vous êtes soit vacciné, soit négatif au virus depuis moins de quarante-huit heures. Au mois d’août, l’usage et les restrictions liées au passe sanitaire s’étendront aux restaurants, cafés, bars, centres commerciaux, trains, avions, cars de longs trajets, maisons de retraite et hôpitaux… Sur le site officiel du gouvernement, on peut lire qu’une telle mesure « constitue un outil pour minimiser les risques de contamination par le virus, au moment où le pays s’engage dans la réouverture des établissements[…] Il est également utile pour faciliter les passages aux frontières, la plupart des pays demandant actuellement de fournir à l’entrée de leur territoire des documents faisant état d’un test négatif récent, d’une preuve de rétablissement ou d’un certificat de vaccination. »

On peut légitiment se montrer dubitatif et se questionner sur l’efficacité d’un tel dispositif. En quoi le fait de scanner un code QR minimiserait-il le risque de contamination ? D’autant plus que si la vaccination réduirait la propagation du virus, celle-ci n’empêche pas totalement sa transmission.

Quant au traçage des foyers épidémiques de malades, je serais très curieuse de voir les résultats, surtout que l’on nous serinait que les contaminations avaient essentiellement lieu au sein des cercles familiaux. Mais peut-être devrons-nous bientôt montrer le passe sanitaire avant les repas de famille…

Hocus pocus politique

Penser que ce dispositif pourrait réellement lutter contre la propagation du virus, relève de la pensée magique, c’est comme croire qu’une visite à la Mecque absout de ses péchés de l’année, ou qu’une génuflexion à Lourdes guérit l’arthrose, nous sommes dans le domaine de la croyance, celui de l’hocus pocus politique, celui de l’idéologie pure.

C’est exactement le même principe que le port du masque à l’extérieur, les mêmes qui ne « servaient à rien » au début de l’épidémie, y compris à l’intérieur, ou encore la fameuse « attestation de déplacement dérogatoire », à savoir des mesures cosmétiques dont l’efficacité est plus que discutable, mais qui ne laissent aucun doute sur leur nature véritable :  un outil de contrôle et de surveillance. J’entends déjà certains arguer que nous sommes déjà tracés via nos smartphones, que cela ne changera rien à l’état actuel des choses, sauf que cet argument est plus que fallacieux, j’ai la fâcheuse tendance d’oublier mon téléphone chez moi sans que cela ne m’émeuve outre-mesure ou limite mon mouvement de circulation !

La suite

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13 juillet 2021 2 13 /07 /juillet /2021 15:29

" Que votre oui soit oui, que votre non soit non, tout le reste vient du Malin "

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29 juin 2021 2 29 /06 /juin /2021 08:44

31 scientifiques internationaux pour «une enquête complète sur l’origine du SARS-CoV-2» : complotistes ?

    Par Michel Janva le 

31 scientifiques internationaux pour «une enquête complète sur l’origine du SARS-CoV-2» : complotistes ?

 

Le Figaro publie une lettre ouverte de chercheurs qui demandent une investigation fouillée :

Le 12 juin 2021, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré que les familles des millions de personnes qui sont mortes du COVID-19 «méritent de savoir quelle est l’origine de ce virus, afin que nous puissions éviter que cela ne se reproduise». En accord avec ce souhait, les dirigeants du G7 ont publié le lendemain une déclaration commune appelant à «une étude de phase 2 sur les origines de la COVID-19, qui soit transparente, établie dans un délai raisonnable, dirigée par des experts, fondée sur la science, convoquée par l’OMS et également menée, comme le recommande le rapport des experts, en Chine».

En tant que scientifiques et médiateurs scientifiques ayant demandé une enquête complète sur les origines de la pandémie dans trois lettres ouvertes, publiées cette année (n°1n°2 et n°3), nous nous félicitons de ces déclarations et demandons à nouveau une enquête scientifique complète sur toutes les hypothèses d’origine plausibles, dotée d’un accès illimité à tous les dossiers, échantillons et personnels pertinents en Chine, et ailleurs si nécessaire.

Tous les peuples et toutes les nations, y compris la Chine, ont un intérêt direct à ce que l’origine de la pandémie soit identifiée et que nos plus grandes vulnérabilités soient traitées. Il est donc particulièrement regrettable qu’aucune enquête exhaustive sur toutes les origines plausibles n’ait encore été menée, et qu’aucune ne soit actuellement prévue.

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5 juin 2021 6 05 /06 /juin /2021 12:20

Peut être une image de texte

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4 juin 2021 5 04 /06 /juin /2021 12:00

Les “Fakes news” de Donald Trump deviennent vérités dans la bouche de Joe Biden

Les médias mainstream américains n’ont pas beaucoup de scrupules. Sur l’origine du virus, ce que l’on nommait mensonges, fake news et racisme antichinois quand Donald Trump évoquait l’hypothèse que le Covid pourrait avoir été fabriqué dans le laboratoire de Wuhan, devient possible quand Biden appelle à une enquête détaillée sur ce thème.

Ainsi Facebook, qui censurait tous les textes qui émettaient l’hypothèse d’un virus fabriqué en laboratoire, parlant de « désinformation » , est revenu sur sa décision la semaine dernière. En février, Facebook avait banni « les fausses accusations » sur l’origine humaine du Covid-19, après « avoir consulté les principales organisations de santé » , dont l’OMS.

Mais au regard des éléments nouveaux révélés par le Wall Street Journal sur trois collaborateurs du laboratoire de Wuhan tombés malades en novembre 2019, Facebook vient d’annoncer que les affirmations selon lesquelles le Covid pourrait avoir été conçu de main humaine ne seront plus censurées.

Le sujet est dévastateur pour l’écrasante majorité des médias nationaux, qui s’étaient moqués des personnalités républicaines comme le sénateur Tom Cotton.

Parce que leurs idées politiques avaient aveuglé leurs analyses : la haine de Trump était si forte qu’il fallait absolument disqualifier toute idée qu’il aurait défendue.

Pire : aucun media ne fait son mea culpa. Il n’est donc pas difficile de comprendre le succès des théories complotistes. Les grands médias se discréditent. Ne lisez plus les gros médias sans un oeil critique. Ils diffusent sinon autant voire plus de fake news que les médias dissidents.

 

Vu ICI

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3 juin 2021 4 03 /06 /juin /2021 16:24

La guerre des mots

Il y a les mots usés à force d’avoir servi. Les mots que l’on n’ose plus utiliser. Les mots qui masquent les réalités. Les mots qui vous cataloguent ou vous tuent. Les mots de la langue de bois, ceux de la langue de coton. Les mots à la mode, les mots du franglais, les mots des jargons. Oui, on ne peut véritablement parler aujourd’hui de la guerre des mots. Philippe Van de Wiele

La suite dans le numéro Mots pour maux de la revue Permanences.

Visitez également le blog de la guerre des mots (et de la manière d'y répondre) ...

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2 juin 2021 3 02 /06 /juin /2021 20:00

 N’en déplaise à Macron, c’était mieux au Moyen-Age  

N’en déplaise à Macron, c’était mieux au Moyen-Age

La récente sortie du président de la République sur les temps moyenâgeux que nous traverserions de nouveau donne l’occasion au Père Danziec de démonter dans Valeurs Actuelles les poncifs au sujet de la période médiévale. L’ensauvagement et le délitement actuels n’invitent-ils pas à davantage d’humilité quant aux temps, supposés obscurs, du passé ?

Au début de l’année 1993, lorsque Les Visiteurs s’affichaient dans les salles de cinéma et faisaient rire la France entière, Emmanuel Macron avait tout juste 15 ans. L’adolescent qu’il était a-t-il pris au pied de la lettre les clichés forcés sur cette période historique et qui participaient à la drôlerie du film ? Au regard de l’interview fleuve que vient d’accorder au trimestriel Zadig celui qui est devenu depuis le Président de la République, il semble que oui. Selon le chef de l’Exécutif :

« On revit des temps au fond très moyenâgeux : les grandes jacqueries, les grandes épidémies, les grandes peurs »…

Jacquouille la fripouille, sors de ce corps !

La suite ...

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2 juin 2021 3 02 /06 /juin /2021 14:46
Doodle : Google rend hommage à Frank Kameny, militant américain pour les droits des homosexuels
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31 mai 2021 1 31 /05 /mai /2021 18:51

Google doodle encourages people to 'get vaccinated' amidst battle against  Covid-19 | Trending News,The Indian Express

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30 mai 2021 7 30 /05 /mai /2021 07:17

Attaque islamiste de vendredi : les gentilles fables de Mélenchon, de Darmanin et du procureur

La Chapelle-sur-Erdre : je ne connaissais pas. C’est beau – du moins le nom – comme la  de Proust et d’Alain Fournier. Cette France d’avant 1914 mais qui parlait encore à tous les Français jusqu’à il y a encore quelques années. Mais notre « Français né en France », il en connaissait quoi, de la chapelle, et de l’Erdre ?

Désormais, La Chapelle-sur-Erdre (Loire-Atlantique), c’est une nouvelle halte sur l’infini chemin de croix que l’on nous propose comme destin : un chemin de croix fait de coups de couteau, d’attaques de policiers, d’églises, de décapitation de professeur, etc. Tout est fait pour que nous intégrions la fatalité de la chose : il va falloir apprendre à vivre avec ce virus, semblent nous dire des autorités qui banalisent et tentent de circonscrire chaque fois l’onde de choc de ces attentats  du vendredi dont il ne faut plus parler dès le samedi.

La suite ...

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27 mai 2021 4 27 /05 /mai /2021 09:10

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26 mai 2021 3 26 /05 /mai /2021 08:09
Une "écriture excluante" qui "s’impose par la propagande" : 32 linguistes listent les défauts de l’écriture inclusive

© Christophe Morin / IP3 .

Une "écriture excluante" qui "s’impose par la propagande" : 32 linguistes listent les défauts de l’écriture inclusive

Par   Publié le 

"Outre ses défauts fonctionnels, l’écriture inclusive pose des problèmes à ceux qui ont des difficultés d’apprentissage et, en réalité, à tous les francophones soudain privés de règles et livrés à un arbitraire moral." Bien que favorables à la féminisation de la langue, plusieurs linguistes estiment l'écriture inclusive profondément problématique.

Présentée par ses promoteurs comme un progrès social, l’écriture inclusive n’a paradoxalement guère été abordée sur le plan scientifique, la linguistique se tenant en retrait des débats médiatiques. Derrière le souci d'une représentation équitable des femmes et des hommes dans le discours, l’inclusivisme désire cependant imposer des pratiques relevant d’un militantisme ostentatoire sans autre effet social que de produire des clivages inédits. Rappelons une évidence : la langue est à tout le monde.

LES DÉFAUTS DE L'ÉCRITURE INCLUSIVE

Les inclusivistes partent du postulat suivant : la langue aurait été "masculinisée" par des grammairiens durant des siècles et il faudrait donc remédier à l’"invisibilisation" de la femme dans la langue. C’est une conception inédite de l’histoire des langues supposant une langue originelle "pure" que la gent masculine aurait pervertie, comme si les langues étaient sciemment élaborées par les locuteurs. Quant à l"invisibilisation", c’est au mieux une métaphore mais certainement pas un fait objectif ni un concept scientifique.

Si la féminisation est bien une évolution légitime et naturelle de la langue, elle n’est pas un principe directeur des langues

Nous relèverons simplement ici quelques défauts constitutifs de l’écriture inclusive et de ses principes.

A SUIVRE ...

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22 mai 2021 6 22 /05 /mai /2021 07:30

Emmanuel Macron a déclaré sur la grande chaîne américaine CBS News dimanche 18 avril qu’il fallait «d’une certaine manière déconstruire notre propre histoire». On a du mal à comprendre ce que cherche notre président en tenant de tels propos si ce n’est à déboussoler encore plus les Français afin de toujours mieux les manipuler. Nous avons besoin au contraire qu’on nous fasse aimer notre histoire, comme une histoire de famille! Et de célébrer-sans scrupule- Napoléon à l’occasion du bicentenaire de sa mort.

Voici la participation d'EVR avec  ce texte de Jacques Tremolet de Villers, avocat et écrivain, extrait de son livre L’art politique français :

Dans notre recherche des constantes d'un art politique français, nous avons évoqué- et nous évoquerons- l'effort d'hommes plus efficaces, plus utiles, plus bienfaisants, plus éducatifs que Napoléon. Mais il faut dire qu'aujourd'hui, dans l'état de déliquescence, d'avachissement, de mollesse, de matérialisme, de lâcheté dans lequel se trouve notre pays, il apparait comme un prestigieux professeur d'énergie.

En fait, par sa tradition de gloire, de conquête, de vigueur, par son amour de cette gloire — «j'oserais dire que l’immortalité de son nom lui paraissait d'une bien autre importance que celle de son âme» (*) — il est le dernier de la trempe de nos rois. Ce prince et fondateur de l'ordre nouveau — «Je suis la République et je suis la Révolution, moi!» — est, par certains côtés, le dernier des grands Capétiens, le fils de Richelieu, de Louvois, de Colbert, de Louis XIV et de Saint Louis.

C'est pour cela qu'invinciblement, tant qu'il y aura une histoire de France, les enfants qui apprendront cette histoire, admireront Napoléon.(…)

Mais je m'arrête.(…)

Il n'y a plus d'histoire de France. Il y a de grands courants sociaux qui ont agité l'humanité.

Il n'y a plus de France. Il y a une circonscription administrative et électorale qui porte ce vocable, mais dont il serait malséant d'évoquer le souvenir.

A ce stade d'évanouissement culturel, dans cet aveulissement généralisé, allons-nous faire la fine bouche?

« Sauf pour la gloire, sauf pour l'art, il eût probablement mieux valu qu'il n’eût pas existé» a écrit de lui son meilleur historien, Jacques Bainville.

Mais ce dont notre époque de «bilan, de politique, de frigidaire et de mots croisés» (**) a surtout besoin, ce qui nous manque, c'est ce goût de la gloire et de l'art... et ce sens du besoin de se donner qu'ont les grands peuples.

Nous avons été un grand peuple. Napoléon en est le merveilleux témoin.

Il ne nous enseignera pas comment le redevenir. Il ne nous donnera aucune leçon d'art politique. Le plus souvent il faut fuir son exemple comme la peste car il a semé la guerre, la révolution, les ruines... et le reste. Mais cela dit, il a prouvé, le dernier, et à quelle puissance! que la France n'était pas un petit hexagone confiné dans la contemplation de son niveau de vie. (…)

 «Je vais vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde : vous y trouverez de grandes villes, de riches provinces, vous y trouverez honneur, gloire et richesse. Soldats d'Italie, manqueriez-vous de courage? » ... C'est autre chose que la convention sur l’horaire mobile ou les trente-cinq heures!

Et il ne s'agit pas seulement d'esthétique. La Russie n'est pas plus aimable aujourd'hui qu’elle ne l'était en 1811. Le Grand Duché de Varsovie n'a pas moins besoin de notre soutien. L'héroïsme est non seulement une vertu esthétique, mais une vertu nécessaire. La distinction se fera, chez nous comme ailleurs, très rapidement, non pas entre droite et gauche, majorité ou opposition, Bouvard ou Pécuchet, mais entre les fils de ceux qui de Charles Martel à Napoléon ont, comme disait Péguy, tenu et refusé de rendre la place, qu'ils s'appellent Capet, Philippe Auguste, Du Guesclin, Jeanne d'Arc, Richelieu ou Louis XIV et ceux qui, même habités des plus beaux sentiments, phrasant et pleurnichant, ont refusé le combat .

La France, née de ces héroïsmes, ne se poursuivra pas sans héroïsme. La France n'est pas un ensemble de prescriptions économiques, de lois sociales et de techniques administratives. Ceux qui méconnaissent ce besoin d'héroïsme et de générosité méconnaissent leur pays. Les provinces n'ont dû leur unité qu'à ces symboles et à la force exemplaire de ces héroïsmes réunis.

Qu'ils disparaissent et chacune repartira — au moins psychologiquement — dans son univers propre. On ne fera pas l'économie du respect admiratif et communicatif qu'inspirèrent le roi juste et fort... l'Empereur... la République une et indivisible. On a joué de tout cela. On a méprisé, ricané, sali, ironisé et démoli. Et on se retrouve dans rien... l'univers anonyme, dépersonnalisé, sans couleurs, vie ni amour.

Rien ne doit être négligé de ce qui peut permettre aux Français de retrouver le sens de leur identité.

Parce qu'il est plus proche dans le temps, parce qu'il est de notre temps, parce qu'il frappe plus fort les imaginations, parce que sa vie est un roman de gloire, de malheur, d'amour et d'aventure, Napoléon tient objectivement, dans le réapprentissage de la gloire et de l'honneur de la France par les Français, une place de choix.

L’art politique français (Edition CLC-ICTUS, 1984, 130 p) 

(*)  Mme de Rémusat cité par Jacques Bainville       

(**)  Antoine de Saint-Exupéry, Lettre au général X

AGENDA : Célébration du bicentenaire de la mort de Napoléon | L'ECHIQUIER  SOCIAL

 

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4 mai 2021 2 04 /05 /mai /2021 23:18

Sans commentaire

si ce n'est qu'on peut faire suivre ...

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28 avril 2021 3 28 /04 /avril /2021 08:33

Emmanuel Macron s’est rendu mercredi 14 avril 2021 dans le service de pédopsychiatrie du CHU de Reims, afin d'évoquer l'impact psychologique de la crise du Covid-19 et du confinement sur les enfants et les adolescents. Mi-janvier des pédopsychiatres avaient alerté le chef de l'État sur la dégradation de la santé mentale des plus jeunes depuis le début de l'épidémie. Dans ce cadre, de plus en plus de psychologues cliniciens s’inquiètent des effets nuisibles du port du masque sur l’évolution des petits enfants.

Ingrid Riocreux, professeur agrégée de lettres modernes, spécialiste de rhétorique, partage ce danger dans le texte ci-dessous:

L’étiquette d’“anti-masques” est en passe de devenir au moins aussi infamante qu’anti-vaccins ou anti-IVG, c’est dire. Pourtant, il me paraît légitime de s’inquiéter des effets probablement nuisibles de cet accessoire qu’on prétendit inutile avant de le rendre obligatoire et que, désormais, il est si malvenu de critiquer.

Non, porter le masque n’est pas un “petit effort pour le bien de tous”, comme le prétendent de bons citoyens drogués aux chaînes d’info et gonflés de dédain envers les irresponsables qui pensent autrement, dont je suis. Et s’intéresser aux effets du masque sur la santé de ceux qui le portent ne saurait suffire ; on doit envisager ses effets sur les plus petits, trop jeunes pour se le voir imposer, mais qui ne rencontrent plus que des visages masqués.

Il faut être directement en contact avec des bébés pour imaginer les conséquences qu’aura sur eux cette aube de la vie vécue dans un monde de masques. Les pédiatres nous parlent de l’importance du caché- coucou pour acquérir “la permanence de l’objet” : pour Bébé, un visage masqué n’est donc pas un visage, c’est une paire d’yeux ; la bouche qu’il ne voit pas, il ne la devine pas ; et cette voix qu’il entend, il ne sait pas d’où elle vient. Ôtez votre masque devant Bébé : il vous regarde et vous sourit, ou manifeste de la crainte s’il ne vous connaît pas. Autrement dit, il sait qu’il a affaire à une personne. Remettez votre masque : Bébé vous fixe comme il regarderait un objet curieux et inquiétant. Nous sommes nombreux à faire ce constat et il faut rendre hommage à ceux qui tentent de ménager une place pour ce sujet dans le débat public.

En mai dernier, Libération publie une tribune rédigée par des psychologues cliniciennes alertant sur le danger des masques pour l’évolution des jeunes enfants : « Priver le bébé de plus de la moitié du visage de son interlocuteur plusieurs heures par jour entraîne un risque d’incompréhension relationnelle, car le bébé ne peut plus utiliser les canaux habituels pour lire dans le visage de l’adulte la tonalité émotionnelle de l’interaction. Surtout, le visage de l’adulte est un miroir […], et ce sont les états émotionnels du bébé que le visage de l’adulte reflète quand il sourit en réponse à un babillage, ou qu’il exprime son empathie devant ses pleurs. Privé du bas du visage de l’autre, une bonne partie de ces informations infraverbales sont perdues, et l’enfant peut se sentir davantage confus dans ses interprétations. »

Les auteurs du texte parlent « d’un risque d’altération de l’identification des émotions, d’un sentiment d’insécurité, d’une entrave dans le développement de la communication orale, voire, par mimétisme ou par manque de stimulation, une tendance à l’immobilité du visage ». (…)

En octobre, France Culture consacre toute une émission à ce problème l’effet du masque sur « l’apprentissage du langage, la capacité sociale, l’empathie, la lecture des intentions de l’autre et la régulation des émotions », interrogeant des professionnels et une maman qui affirme ôter régulièrement son masque dans la rue quand elle est avec sa fille. Ce sujet est (abordé mi-novembre par France-Info qui rapporte) les propos d’une mère qui révèle (…) qu’elle a accouché masquée et que, depuis sa naissance, son enfant « n’a connu que des gens masqués ». Comment croire que cela puisse être anodin ? (…) (Anne Cognet, l’une des rédactrices de la tribune de Libération, exprime) ce que n’importe qui peut constater lorsqu’il se penche, masqué, vers un bébé : on crée une « situation d’inquiétante étrangeté » qui provoque un « sentiment d’anxiété » suscitant « du rejet ou du repli » ; un « inconfort » qui pousse le bébé à « se couper de ses émotions pour se protéger ».

Serait-ce un problème que les parents ôtent leur masque en présence des tout-petits quand ils ne sont à proximité de personne d’autre ? N’est-il pas aberrant que, depuis sa voiture, une dame courroucée fasse signe de remettre son masque à cette maman qui conduit une poussette, seule sur son trottoir et n’a que son enfant en face d’elle ?

Ce n’est pas du tout un questionnement secondaire que celui de l’avenir des tout-petits qui auront découvert le monde en rencontrant partout des visages masqués. Il faut certainement lutter contre ce coronavirus ; mais si nous produisons une génération de bègues autistes psychotiques et névrosés, aurons-nous vraiment gagné ?

Concluons sur un paradoxe : on s’est interrogé à longueur de débats télévisés et d’articles pour savoir si l’on avait le droit d’ôter son masque pour fumer ; puisque la réponse, semble-t-il, est “oui”, je crois que dès demain, j’allumerai une cigarette pour la promenade en poussette et j’expliquerai plus tard à mon enfant que c’est à cause du coronavirus qu’il a un cancer.

Ingrid Riocreux, dans Valeurs Actuelles du 4 mars 2021 

Merci à EVR.

 

La Langue des médias » d'Ingrid Riocreux - Polémia

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10 avril 2021 6 10 /04 /avril /2021 08:28

 

Alors, les vaccinés contre le COVID risquent-ils davantage de mourir ? Oui, selon deux documents officiels.

 

 

J’ai dû me pincer en lisant cette phrase attribuée par Europe 1 à Olivier Véran, citée à de multiples reprises dans les médias français et non démentie à ce jour :

 

« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

 

Il s’agit de la citation d’un mémoire, auquel Europe 1 a eu accès, produit par le ministre de la santé pour contester la demande d’un octogénaire qui prétendait obtenir en référé du Conseil d’Etat le droit de ne pas se soumettre aux nouvelles restrictions COVID en mars, du fait qu’il avait reçu ses deux doses du vaccin Pfizer en janvier.

Relisez bien les propos de Véran : il reconnaît qu’être vacciné entraîne un risque plus grand de faire un COVID grave et d’en mourir pendant (suppose-t-on) la période où ledit vaccin n’a pas atteint sa pleine efficacité. Combien de temps ? Pour le requérant, cela faisait entre 6 et 8 semaines. Et puis il y a les ratés. Les cas où le vaccin n’est pas efficace du tout, et ils existent puisqu’aucun vaccin COVID n’affiche une efficacité à 100 %, et par ailleurs on sait que les défenses immunitaires des personnes très âgées – celles qui ne faisaient pas partis des essais initiaux de ces vaccins qui en sont encore à la phase expérimentale – ne répondent pas aussi bien que celles des jeunes.

Donc, au moins pour une partie de la population, le vaccin conduit à plus de risques, et non à moins, de mourir du COVID, puisqu’elles sont (je cite Olivier Véran) « les plus exposées aux formes graves et aux décès » dans certaines conditions.

Il faut y ajouter, toujours avec Olivier Véran, les cas de « réinfection post-vaccinale » : en termes clairs, les personnes qui ont eu le COVID, en le sachant ou non, et qui se font vacciner, ont un risque plus grand de mourir en cas de réinfection après le vaccin (qui donc n’est même pas supposé protéger de ce risque).

Vous me suivez ? Direction Royaume-Uni, maintenant, et un article d’un journal mainstream, le Daily Telegraph, qui s’étonne d’un « paragraphe extraordinaire » au sein d’un rapport de modélisation pessimiste soumis par l’Imperial College de Londres et publié sur un site du gouvernement britannique. Tout comme les prédictions fumeuses de Neil Ferguson au printemps dernier avaient entraîné le monde dans ses premiers confinement, c’est ce rapport qui a conduit Boris Johnson à retarder l’allégement prévu des mesures COVID au nom d’une troisième vague meurtrière qu’il s’agirait d’éviter.

Le Telegraph dénonce les « données défectueuses » retenues pour l’établissement de ce rapport, et s’étrangle devant cette phrase :

 

« La recrudescence des hospitalisations et des décès est dominée par les personnes qui ont reçu deux doses du vaccin, soit environ 60 % et 70 % de la vague respectivement. Cela peut être attribué aux niveaux élevés de prise du vaccin dans les groupes d’âge les plus à risque. »

 

 Le rapport fonde son calcul sur une efficacité à 90 % des vaccins, donc 10 % des plus de 50 ans non protégés, soit 2,9 millions de personnes vaccinées et non protégées dans cette catégorie d’âge, avec à la clef près de 40.000 morts en cas de levée complète des restrictions, voire 59.900 selon un autre modèle signé Warwick, qui prévoit tout cela à la centaine près ! On arriverait ainsi à un décès sur 70 dans la catégorie des personnes de plus de 50 ans ou vulnérables, au lieu de 1 décès sur 200 dans cette même catégorie au cours des 1e et 2e vagues. 

Bien sûr, on navigue en pleine science-fiction. Mais cela mérite tout de même d’être souligné : les vaccins étaient supposés conditionner la levée des restrictions, et voilà que les modélisateurs commencent à dire que la couverture vaccinale associée à cette levée peut encore aggraver la situation.

Ne trouvez-vous pas que cela commence à faire un peu beaucoup ?

Source 

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19 mars 2021 5 19 /03 /mars /2021 19:14
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18 mars 2021 4 18 /03 /mars /2021 09:29

 TOUS VACCINES ?

 

Pour ou contre ? Doit-on forcer les Français à se vacciner ?

Voici les questions que l’enquête Tous Vaccinés ? pose à des spécialistes dans leur domaine, donnant la parole de manière équitable aux « pour » et aux « contre », afin que chaque internaute puisse se forger un avis éclairé.

Réalisé par le journaliste et caméraman indépendant Armel Joubert des Ouches et produit par Annette Christol, Tous Vaccinés ? est un travail journalistique qui part sans postulat de départ et s’achève sans aucune consigne. En cela, leur démarche est à notre connaissance inédite. Aucune culpabilisation, zéro complotisme, pas d’infantilisation des Français : les faits, rien que les faits, au service de la vérité, forcément très complexe

Tous Vaccinés ? va gêner les partisans d’une vérité officielle comme ceux d’une vérité trop simple.

Florilège de personnalités interrogées :

§  Dr Laurent Alexandre, médecin, haut fonctionnaire, entrepreneur.

§  Dr Louis Fouché, médecin-anesthésiste.

§  Christophe Barbier, journaliste et éditorialiste.

§  Alexandra Henrion Caude, généticienne.

§  Serge Aumont, délégué FO chez Recipharm.

§  Maître Carlo Alberto Brusa, avocat.

§  Olivier Babeau, professeur, économiste et essayiste français.

§  Pr Henri Joyeux, médecin, écrivain, professeur.

§  Jean Leonetti, député, ancien ministre.

§  Dr Eric Chabrière, biochimiste.

 

Site officiel : https://www.tousvaccines.fr

 

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13 mars 2021 6 13 /03 /mars /2021 18:12

Peut être une image de texte qui dit ’Il est incroyable de voir comme le peuple, dès qu'il est assujetti, tombe soudain dans un si profond oubli de sa liberté qu'il lui est impossible de se réveiller pour la reconquérir: il sert si bien, et si volontiers, qu'on dirait à le voir qu'il n'a pas seulement perdu sa liberté mais gagné sa servitude... La BOÉTIE, Discours de la servitude volontaire, 1576’

le Discours complet est ICI

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11 mars 2021 4 11 /03 /mars /2021 00:15

Israël est le laboratoire du monde pour la vaccination notamment, mais aussi pour le climat, ou encore pour le passeport vaccinal.

Voici ce que dit cet article d’i24NEWS :

Israël : « Nous nous préparons au scénario pessimiste, selon lequel il faudra renouveler les vaccins tous les six mois » (B. Netanyahou)

Le Premier ministre israélien Netanyahu assiste à une cérémonie marquant le 4 000 000e personne d’Israël à être vaccinée au centre de vaccination des services de santé Leumit à Jérusalem le 16 février 2021.

« Mon objectif est d’apporter 36 millions de doses supplémentaires cette année »

Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a précisé lundi à la radio israélienne que le « passeport vert » n’était délivré pour le moment que pour une période de six mois, en raison de l’absence de données sur la durée d’efficacité du vaccin contre le coronavirus.

« Il est important de dire que le vaccin est efficace pendant une période limitée. Pour le moment, nous donnons le passeport vert pendant six mois, mais il peut être efficace pendant un an ou deux », a déclaré B. Netanyahou à la station de radio Galgalatz.

« Nous nous préparons au scénario pessimiste, selon lequel il faudra renouveler les vaccins tous les six mois », a-t-il cependant ajouté.

La suite...

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10 mars 2021 3 10 /03 /mars /2021 12:04

Il paraît que la jeune noire Amanda Gorman avait bouleversé la planète en disant un de ses poèmes lors de l’investiture de Jo Bidon. Par conséquent son poème est traduit dans le monde entier. Aux Pays-Bas il devait l’être par Marieke Rijneveld, une jeune femme qui a remporté l’an dernier un prix international pour un roman.

Mais cela a suscité un tollé. Parce que Marieke Rijneveld est blanche.

Pourtant elle avait l’accord de « l’équipe » d’Amanda Gorman (je ne savais pas que les poètes avaient désormais des « équipes » derrière eux). Mais la polémique a été trop forte : Marieke Rijneveld a jeté l’éponge.

Il convient d’ajouter que Marieke Rijneveld n’est pas seulement blanche (et blonde), elle se dit « non binaire ». Elle s’est donnée un deuxième prénom : Lucas, et on doit l’appeler par le pronom « iel ». Les magazines bien-pensants la qualifient donc d’« écrivain·e ».

Dans notre monde de détraqués, c’est pourtant très bien d’être « non binaire » : c’est montrer qu’on fait partie, de façon relativement originale, de la communauté LGBTQI+ (etc.), qu’on est concrètement un adepte de l’idéologie du genre. Mais là c’est dirimant. Parce que Amanda Gorman est une femme du genre féminin. Et qu’elle ne peut donc être traduite que par une femme du genre féminin.

Qu’on se rassure, nous n’avons pas ce problème pour la version française du poème. Elle a été réalisée par une noire (gabono-belge) qui dit être une femme.

(On remarque au passage que tout cela est strictement à sens unique. De même qu’au cinéma un personnage noir ne peut plus être interprété que par un noir mais qu’un noir peut interpréter un personnage blanc, même quand c’est un personnage historique ou légendaire manifestement blanc, de même une traductrice noire peut évidemment traduire un auteur blanc…)

Yves Daoudal sur son site

Lisez également l'article de Marianne

 

Évincée de la traduction d'une poétesse noire, car blanche, Marieke Lucas Rijneveld répond en poésie

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