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5 avril 2020 7 05 /04 /avril /2020 08:55

 

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4 avril 2020 6 04 /04 /avril /2020 14:58
Une initiative !
Dimanche, mettez vos rameaux en tissu au balcon !

 

Opération Hosanna. C’est le nom donné à une initiative relayée sur les réseaux sociaux qui invite tous les chrétiens à fêter les Rameaux en plaçant à leurs fenêtres des banderoles ornées de rameaux.

Cette année, ce n’est pas « Noël au balcon »… mais les Rameaux. En raison des mesures de confinement prolongées au moins jusqu’au 15 avril, les chrétiens ne pourront pas se rendre dimanche à la messe des Rameaux, qui, avec Noël et Pâques, attire chaque année un très grand nombre de fidèles. En outre, les citadins auront du mal à se procurer des branches de buis, symbole de la victoire de la vie sur la mort et le péché. Bien plus qu’un porte-bonheur, le rameau fait entrer Jésus ressuscité dans nos maisons. Alors comment faire en ce dimanche si particulier ?

« Ce we, nous n’aurons malheureusement pas la chance d’avoir des rameaux pour célébrer le Christ comme il se doit. Je lance donc l’opération Hosanna. Chaque foyer doit réaliser une banderole sur un morceau de tissu (blanc de préférence) avec le mot « Hosanna » avec un rameau et l’accrocher à sa fenêtre dimanche prochain. Montrons ainsi au Christ et au monde entier que les chrétiens sont unis en ce dimanche des rameaux. Diffusons l’info au maximum autour de nous afin que cette opération rassemble un maximum de chrétiens !! #stayathome #careme #rameaux »

La suite de l'article de Matilde de Robin sur Aleteia ...

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29 mars 2020 7 29 /03 /mars /2020 09:45
Neuvaine au Sacré-Coeur: Jour 1

En ce premier jour de la neuvaine, prions ensemble le Sacré Cœur de Jésus pour les malades du coronavirus, que le Seigneur leur donne la Paix du corps, de l’âme et du cœur. « Le Cœur de Jésus demeure à jamais ouvert sur le monde. » (St Jean-Paul II) Ô mon Jésus,

 

 [la suite]

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25 mars 2020 3 25 /03 /mars /2020 07:52

Trouverez-vous le nom du peintre ?

Vous pourrez voir tous les détails ICI ...

 

Le récit de l'Annonciation 

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22 mars 2020 7 22 /03 /mars /2020 08:02
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22 mars 2020 7 22 /03 /mars /2020 07:54

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20 mars 2020 5 20 /03 /mars /2020 09:41

Le Coronavirus ou Covid-19 a été qualifié de pandémie par l’organisation mondiale de la santé. Emmanuel Macron a solennellement décrété, ce jeudi 12 mars,  une mobilisation générale face à ce nouveau fléau dont nous ne connaissons, ni les origines ni les causes réelles de sa diffusion, ni même ses conséquences possibles. Ce que nous savons cependant, c'est que les pandémies ont, longtemps été considérées, à travers l'histoire, comme des châtiments divins, et que l'Église contre ceux-ci a toujours eu recours à la prière et la pénitence. Souvenons-nous–en ce temps de Carême- des paroles de saint Grégoire le Grand : « Que dirons-nous des terribles événements dont nous sommes témoins sinon qu'ils sont un présage d'un châtiment à venir ? Pensez donc à ce jour futur, chers frères, en tremblant ; changez de conduite, rompez avec vos habitudes coupables, vainquez de toutes vos forces les tentations du mal, et châtiez dans les larmes les péchés commis. » .

EVR

 

Les faits qui suivent se sont déroulés à Rome en 590. L'Italie était alors dévastée par les épidémies, la famine, les troubles sociaux et la vague destructrice des Lombards. Entre 589 et 590, une violente flambée de peste, les terribles lues inguinaria, après avoir dévasté le territoire byzantin à l'est et les terres franques à l'ouest, sema la mort et la terreur dans la péninsule et frappa la ville de Rome. Les citoyens romains virent cette épidémie comme un châtiment divin en réponse à la corruption qui régnait dans la ville.

La première victime que fit la peste à Rome fut le Pape Pélage II, mort le 5 février 590. Le clergé et le Sénat romain élurent Grégoire qui, après avoir été Préfet de Rome, était devenu moine à Monte Celio. Après sa consécration le 3 octobre 590, le nouveau Pape s'attaqua immédiatement au problème de la peste. Grégoire de Tours (538-594), contemporain de ces événements et qui en fut le chroniqueur, raconte que le Pape Grégoire, dans un sermon mémorable prononcé dans l'église de Santa Sabina, invita le peuple romain à suivre — contrit et pénitent — l'exemple des habitants de Ninive : « Regardez autour de vous : voici le glaive de la colère de Dieu, brandi au-dessus de toute la population. La mort soudaine nous arrache, en l'espace d'une seconde, à ce monde. En ce moment précis, oh — combien sont emportés par le mal — ici tout autour de nous — n'ayant même pas le temps de faire pénitence. »

Puis le Pape exhorta tout le peuple à lever les yeux vers Dieu, Qui permet de si terribles châtiments dans le but de corriger Ses enfants. Pour apaiser le courroux divin, le Pape ordonna une « litanie en sept Chœurs », c'est-à-dire une procession de toute la population romaine, divisée en sept cortèges, selon le sexe, l'âge et la condition. La procession se déplaça depuis les différentes églises romaines en direction de la basilique Saint-Pierre au Vatican, chantant des litanies en chemin. C'est l'origine de ce que l'on appelle aujourd'hui les grandes Litanies de l'Église, ou Rogations, que nous prions pour que Dieu nous protège contre les adversités. Les sept cortèges traversèrent les bâtiments de la Rome antique, pieds nus, à pas lent, la tête couverte de cendres. Tandis que la multitude traversait la ville, dans un silence sépulcral, la peste atteignit un tel point de fureur qu'en l'espace d'une heure, quatre-vingts personnes tombèrent mortes au sol. Cependant, Grégoire ne cessa pas une seconde d'exhorter le peuple à continuer de prier et insista pour que l'image de la Vierge peinte par saint Luc et conservée à Santa Maria Maggiore soit portée en tête de procession. (Gregorio di Tours, Historiae Francorum, liber X, 1, in Opera omnia, a cura di J.P. Migne, Parigi 1849 p. 528)

La légende dorée de Jacques de Voragine raconte que, à mesure que la procession avançait avec l'image sainte, l'air devenait plus sain et plus pur et le miasme de la peste se dissolvait comme s'il ne pouvait supporter la présence de l'image de la Sainte Vierge. Elle atteignit le pont unissant la ville au mausolée d'Hadrien, connu à l'époque médiévale sous le nom de Castellum Crescentii, quand tout à coup un chœur d'anges se fit entendre, entonnant le « Regina Caeli, laetare, Alleluja - Quia quem meruisti portare, Alleluja - Resurrexit sicut dixit, Alleluja ! » Grégoire répondit d'une voix forte : « Ora pro nobis rogamus, Alleluja ! » Et ainsi est née le Regina Caeli, l'antienne avec laquelle l'Église salue Marie Reine du Ciel, pendant le temps pascal, pour proclamer la Résurrection du Sauveur.

Après le chant, les Anges se disposèrent en cercle autour de l'image de Notre-Dame et Grégoire, levant les yeux, vit au sommet du Château, un Ange, qui, après avoir essuyé son glaive ruisselant de sang, le remit dans sa gaine, comme pour signifier que le châtiment était terminé.

Le Pape Grégoire I fut canonisé, proclamé Docteur de l'Église et entra dans l'histoire sous le nom de « Grégoire le Grand ». Après sa mort, les Romains se mirent à appeler le mausolée d'Hadrien « Castel Sant'Angelo » (Château Saint-Ange) et, en souvenir du miracle, placèrent au sommet du château, la statue de Saint Michel, Chef de la milice céleste, rengainant son épée. Aujourd'hui encore, au musée du Capitole, une pierre circulaire avec des empreintes de pieds est conservée qui, selon la tradition, aurait été laissée par l'Archange lorsqu'il se leva pour déclarer la fin de la peste. Le cardinal Cesare Baronio (1538-1697), considéré comme l'un des plus grands historiens de l'Église pour la rigueur de ses recherches, confirme l'apparition de l'Ange au sommet du château. (Odorico Ranaldi, Annali ecclesiastici tratti da quelli del cardinal Baronio, anno 590, Appresso Vitale Mascardi, Roma 1643, pp. 175-176)

Lu dans pierre-et-les-loups.net, LifeSiteNews du 28 février 2020.

 

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19 mars 2020 4 19 /03 /mars /2020 20:13


SAINT JOSEPH
Époux de la Très Sainte Vierge Marie

Patron de l'Église universelle


Saint Joseph descendait de la race royale de David. On croit généralement qu'en vue de la mission sublime que le Ciel lui destinait, il fut sanctifié avant sa naissance. Nul ne peut douter que Joseph ne fût préparé à son sublime ministère, quand la Providence, qui dirige tous les événements, unit son sort à celui de Marie.

L'Évangile est très sobre de détails sur saint Joseph, et on y voit tout résumé en ces mots: "Il était juste." Mais que ces mots couvrent de merveilles, puisque les docteurs s'accordent à dire que saint Joseph tient le premier rang après Marie parmi tous les Saints!

Son père l'éleva, d'après la tradition, dans l'état modeste de charpentier; il pouvait avoir, selon de sérieux auteurs, une cinquantaine d'années, et il avait gardé une chasteté parfaite, lorsque la Volonté de Dieu lui confia la Très Sainte Vierge. Cette union, belle devant les anges, dit saint Jérôme, devait sauvegarder l'honneur de Marie devant les hommes.

 

CLIQUEZ ICI 

 

Saint Joseph

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19 mars 2020 4 19 /03 /mars /2020 12:58

Le conseil de saint Jean Bosco en cas d’épidémie

                                      Alessandro Rota / Sputnik    À Milan, le 26 février 2020.

Alors qu’un dernier bilan fait état de plus de 119.000 personnes malades dans le monde et 4.300 morts, le coronavirus inquiète de plus en plus. Et si vous suiviez le conseil de saint Jean Bosco pour gagner en sérénité ?

Se laver les mains régulièrement, tousser dans son coude et ne pas se rendre dans un pays à risque, voilà les principales recommandations formulées par les autorités sanitaires pour limiter la propagation du coronavirus. À celles-là on pourrait en ajouter une autre d’ordre spirituel : avoir sur soi une image de la Vierge Marie et prier régulièrement.

Ce dernier conseil n’est autre que celui donné par saint Jean Bosco à Turin lors de l’épidémie de choléra qui a frappé la ville en 1854. Le prêtre italien avait alors demandé à des jeunes gens qu’il avait mandaté pour rendre visite aux malades de porter sur eux une image de la Vierge et de prier régulièrement. Aucun d’entre eux n’avait été contaminé. Si les deux épidémies ne sont absolument pas comparables, son conseil est toujours valable : agir humblement avec foi et se confier à la Mère de Dieu.

La rédaction d'Aleteia/avec I.Media | 11 mars 2020

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19 mars 2020 4 19 /03 /mars /2020 01:54
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15 mars 2020 7 15 /03 /mars /2020 22:39

   Par : Padreblog

L’année dernière, presque à la même époque, la flèche de Notre-Dame s’effondrait dans les flammes, suscitant une émotion immense et légitime. La cathédrale vieille de 850 ans qui nous paraissait indestructible, tant elle avait résisté aux évènements de l’histoire, menaçait de disparaître. Un an après, voici que le Coronavirus « Covid 19 » vient provoquer notre espérance. Tout nous semble si fragile ! Nos habitudes, nos modes de vie sont remis en cause. L’angoisse et la peur peuvent nous envahir. Que faire ? Comment vivre les semaines qui s’annoncent ? Quelles ressources puiser et quels repères trouver afin de faire face à cette crise ?

Avec stupeur, beaucoup semblent réaliser que tout ce qui semblait acquis dans une vie ou dans le fonctionnement d’une société peut se déliter en quelques jours. « Ayons confiance en la science » dit le Président de la République. Bien sûr ! Et nos regards sont tournés vers les chercheurs mais aussi tous ceux qui sont en première ligne et vont se dévouer avec générosité et compétence auprès des malades : médecins, infirmières, aides-soignants, agents hospitaliers, urgentistes…

DIEU, L’UNIQUE NÉCESSAIRE

Mais nous avons surtout confiance… en Dieu ! Notre foi nous révèle qu’il y a des choses que l’homme ne maîtrise pas et qu’il n’est pas tout-puissant. Bien sûr, la Bible contient bien un livre, intitulé l’Apocalypse. Mais il faut absolument refuser, comme l’Eglise l’a toujours fait, de chercher à décrypter sous la forme imagée choisie par son auteur quelconque annonce de cataclysme. Ce que l’apôtre saint Jean décrit avant tout dans son texte c’est notre fragilité et notre vulnérabilité. Et il entend surtout révéler que nous sommes dans la main de Dieu, l’unique nécessaire. « Que rien ne te trouble, que rien ne t’épouvante, tout passe. Dieu seul suffit »rajouterait sainte Thérèse d’Avila.

Impossible d’oublier que tout cela arrive pendant le Carême. Lorsqu’il a commencé, certains d’entre nous ont entendu cette phrase : « Souviens-toi que tu es poussière ». Plus que jamais, notre espérance doit être vive, notre prière fervente, et notre charité inventive afin d’appréhender cette période atypique et nouvelle.

POURQUOI ? COMMENT ? C'est ICI ...

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22 février 2020 6 22 /02 /février /2020 21:12

 

La fête de la Chaire de Saint Pierre était à l’origine célébrée le 18 janvier en Gaule et le 22 février à Rome même. En 1558, le Pape Paul IV introduisit la fête du 18 janvier à Rome qui devint fête de la Chaire de Saint Pierre à Rome tandis que la fête du 22 février pris le titre de Chaire de Saint Pierre à Antioche.

La suite ...

Cliquez sur la chaire pour lire ce qu'en dit Aleteia ...

Et aujourd'hui, c'est aussi Sainte Isabelle de France, religieuse clarisse, sœur du roi Saint-Louis.

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15 février 2020 6 15 /02 /février /2020 01:31

Un article ancien ... d'actualité. 

« Les Origines apostoliques du célibat ecclésiastique », par le P. Cochini, sj. A l’occasion d’une présentation à Rome 

ROME, Lundi 4 décembre 2006 (ZENIT.org) – « Les Origines apostoliques du célibat ecclésiastique », c’est le titre de l’étude du P. Christian Cochini, sj, publiée aux éditions Ad Solem (www.ad-solem.com) et qui sera présentée demain à Rome, au séminaire français. Nous publierons demain le second volet de cet entretien accordé à Zenit.

Le P. Christian Cochini est né à Marseille en 1929. Il est entré dans la Compagnie de Jésus en 1958 et il a soutenu sa thèse de théologie en 1969 devant le Jury de la Faculté de théologie de Paris présidé par le cardinal Daniélou. Il est actuellement en Chine, à Macau, engagé dans le dialogue interreligieux avec les communautés bouddhistes du continent chinois.

Zenit : P. Cochini, vous publiez un livre sur l’origine apostolique du célibat ecclésiastique. Or le fait que l’Eglise catholique latine choisisse ses prêtres parmi des hommes dont le charisme du célibat est vérifié est justement souvent contesté par qui prétend que le célibat sacerdotal est une invention…médiévale !

P. Cochini : L’ouvrage publié aujourd’hui aux éditions Ad Solem est la réédition, augmentée d’une préface du cardinal Castrillon Hoyos, de mon livre sur Les Origines apostoliques du célibat ecclésiastique, publié pour la première fois en 1981 chez Lethielleux. Il a été jugé utile de le republier parce que la question des origines, c’est-à-dire la question historique, est aujourd’hui au centre du débat. Il est frappant, en effet, de voir la quantité de livres ou d’articles qui contestent la discipline de l’Eglise latine concernant le célibat obligatoire des clercs en arguant de l’origine tardive de la loi. Certains, comme vous le dites, y voient une invention médiévale, en se référant au 2ème concile du Latran de 1139, mais ils sont de moins en moins nombreux, car l’argument ne résiste pas à une simple lecture du texte conciliaire : le document du Latran n’établit pas l’obligation du célibat, mais frappe de nullité tout mariage contracté par un clerc déjà ordonné. En revanche, la critique basée sur le concile d’Elvire des années 300, le premier en date des synodes faisant état d’une obligation de continence parfaite pour les membres du clergé supérieur, ainsi que sur l’existence de nombreux évêques, prêtres et diacres mariés au cours des premiers siècles de l’Eglise, est certainement à prendre en compte.

C’est un argument très sérieux, car il oblige la réflexion théologique à vérifier sa cohérence avec l’histoire. Dans son encyclique sur le célibat, Paul VI écrivait : « Jésus, qui choisit les premiers ministres du salut, qui les voulut initiés à l’intelligence des mystères du royaume des cieux, coopérateurs de Dieu à un titre très spécial et ses ambassadeurs, et qui les appela amis et frères, pour lesquels il s’est sacrifié lui-même afin qu’ils fussent consacrés en vérité, a promis une récompense surabondante à quiconque aura abandonné maison, famille, épouse et enfants pour le royaume de Dieu. » C’était reconnaître par là même l’importance exceptionnelle de l’exemple des apôtres dans la genèse de la pratique du célibat. Car comment concevoir que ces « amis et frères du Seigneur » n’aient pas été les premiers à vivre ce mode privilégié d’imitation du Christ qu’est le renoncement à « famille, épouse et enfants pour le royaume de Dieu », et qui sera demandé par l’Eglise à ses prêtres.

Et si eux ne l’ont pas été, si ceux d’entre eux qui, comme saint Pierre, étaient mariés, ont continué à mener la vie conjugale, comment fonder la théologie sous-jacente à la loi du célibat sur des bases qui soient absolument incontestables ? 

La suite...

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2 février 2020 7 02 /02 /février /2020 23:20
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24 décembre 2019 2 24 /12 /décembre /2019 10:17

Fichier:Jean-Baptiste Marie Pierre - Nativity - WGA17676.jpg

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5 décembre 2019 4 05 /12 /décembre /2019 23:27

 

En ce jour-là, le Seigneur de l’univers préparera pour tous les peuples, sur sa montagne, un festin de viandes grasses et de vins capiteux, un festin de viandes succulentes et de vins décantés.

Sur cette montagne, il fera disparaître le voile de deuil qui enveloppe tous les peuples et le linceul qui couvre toutes les nations.

Il fera disparaître la mort pour toujours. Le Seigneur Dieu essuiera les larmes sur tous les visages, et par toute la terre il effacera l’humiliation de son peuple. Le Seigneur a parlé.

Et ce jour-là, on dira : « Voici notre Dieu, en lui nous espérions, et il nous a sauvés ; c’est lui le Seigneur, en lui nous espérions ; exultons, réjouissons-nous : il nous a sauvés ! »

Car la main du Seigneur reposera sur cette montagne.

 

Livre d'Isaïe 25,6-10a.

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22 novembre 2019 5 22 /11 /novembre /2019 09:56
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21 septembre 2019 6 21 /09 /septembre /2019 09:38
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14 septembre 2019 6 14 /09 /septembre /2019 09:07

C'est-à-dire ???
 


La vénération de la Sainte Croix, le 14 septembre, se rattache aux solennités de la dédicace de la basilique de la Résurrection, érigée sur le tombeau du Christ, en 335.

Le Christ a offert sur la Croix son sacrifice pour l'expiation des péchés de la multitude; la Croix est pour le peuple chrétien le signe de l'espérance du Royaume, que le peuple juif célèbre lors de la fête des Tentes. C'est dire de quelle lumière brille la Croix glorieuse de Jésus: objet de mépris, la Croix est devenue "notre fierté". Si l'arbre planté au paradis originel a produit pour Adam un fruit de mort, l'arbre de la Croix a porté pour nous un fruit de vie, le Christ, "en qui nous avons le salut et la résurrection".

Vers 615, sous le règne de l'empereur Héraclius Ier, les Perses s'emparèrent de Jérusalem et y enlevèrent la principale partie de la vraie Croix de Notre-Seigneur, que sainte Hélène, mère de l'empereur Constantin, y avait laissée. Héraclius résolut de reconquérir cet objet précieux, nouvelle Arche d'alliance du nouveau peuple de Dieu. Avant de quitter Constantinople, il vint à l'église, les pieds chaussés de noir, en esprit de pénitence; il se prosterna devant l'autel et pria Dieu de seconder son courage; enfin il emporta avec lui une image miraculeuse du Sauveur, décidé à combattre avec elle jusqu'à la mort. Le Ciel aida sensiblement le vaillant empereur, car son armée courut de victoire en victoire; une des conditions du traité de paix fut la reddition de la Croix de Notre-Seigneur dans le même état où elle avait été prise.

La suite...

 

Résultat de recherche d'images pour "FÊTE DE LA CROIX GLORIEUSE La vénération de la Sainte Croix, l"

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8 septembre 2019 7 08 /09 /septembre /2019 16:19

le 6300e article !!!

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15 août 2019 4 15 /08 /août /2019 07:51

 

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6 août 2019 2 06 /08 /août /2019 09:56
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9 juin 2019 7 09 /06 /juin /2019 09:41
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30 mai 2019 4 30 /05 /mai /2019 07:24

« C’est pour nous ouvrir la porte du ciel par son ascension qu’il est ressuscité dans son corps et monté aux cieux avec son corps » (Chromace d’Aquilée, Sermon 1, 95-101).

Célébrer l’Ascension ?

Égérie, qui nous a guidés à Jérusalem durant le Carême et les fêtes pascales, ne mentionne pas de célébration liturgique de l’Ascension le quarantième jour après Pâques, alors que chaque fois qu’une cérémonie a lieu à l’Imbomon, sur le mont des Oliviers, elle ne manque pas de rappeler que c’est le lieu d’où le Seigneur s’est élevé au ciel en présence de ses disciples. Pourquoi ce silence ?

En fait cette Quadregesima Ascensionis comme l’appelle plus tard Augustin, parallèle de la quadragésime du carême, commence à être célébrée à la fin du IVe siècle seulement ; jusque -là l’Ascension du Seigneur prend place dans la célébration de la Pentecôte ; c’est le cas à Jérusalem en 384.

En Orient, les premières attestations d’une fête de l’Ascension au quarantième jour sont celles de Grégoire de Nysse, à Constantinople, en 388, et de Jean Chrysostome, à Antioche, à la même époque.

Chromace, évêque d’Aquilée de 388 à 408, est le plus ancien témoin occidental, avec Filastre de Brescia (mort avant 397), de la célébration liturgique de l’Ascension le quarantième jour après Pâques, par un sermon qu’il prononça pour cette fête mais dont on ne peut préciser l’année ; leur contemporain Maxime de Turin reste fidèle à la célébration de l’Ascension lors de la Pentecôte. La célébration de l’Ascension séparée de la Pentecôte se généralisa ensuite assez vite.

Parce que c’est peut-être la première fois que cette célébration a lieu à Aquilée, Chromace l’exalte tout particulièrement commençant son sermon par le mot sollemnitas : « La solennité de ce jour porte en elle une grande grâce festive. C’est en effet en ce quarantième jour après sa résurrection, comme votre Dilection vient de l’entendre dans la présente lecture, que notre Seigneur et Sauveur, en présence de ses disciples, et sous leurs yeux, est monté au ciel avec son corps. » (Sermon 8, 1)

Le Christ est monté au ciel avec son corps charnel

Lisez la suite sur InfoCatho

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12 mai 2019 7 12 /05 /mai /2019 10:06

Devoir de mémoire.

''puis vint cette voix
environ l'heure de midi
au temps de l'été
dans le jardin de mon père''

A voir ICI

 

 
 
 
-2:04

 
 
 
 

 

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